A Moment in Love

samedi 13 septembre 2025, 15h00

Salle Jean Epstein

15h00 16h05 (65 min)

Shirley Clarke
États-Unis / 1956 / 9 min / DCP / VO

Avec Carmela Gutierrez, Paul Sanasardo.

La rencontre chorégraphique entre un couple d'amoureux, du rendez-vous galant aux sommets des montagnes. Sur un ballet signé Anna Sokolow, Shirley Clarke multiplie effets de caméra, trucages et ajouts visuels pour accompagner la passion de deux amants entraînés dans un monde imaginaire.


Shirley Clarke
États-Unis / 1958 / 7 min / DCP / VO

Par des techniques de surimpression et de colorisation, Shirley Clarke fait danser les ponts de New York aux sons de deux partitions. De l'électronique au jazz, la créativité de l'architecture est mise en scène pour figurer la puissance de l'Homme face aux défis posés par la nature.


Shirley Clarke
États-Unis / 1955 / 11 min / DCP / VO

Avec Anna Sokolow.

Sous l'œil fasciné de Shirley Clarke, Anna Sokolow – habitée – réinterprète la corrida, l'échange mortel entre le taureau et le matador, dans une danse enivrante de beauté. À travers les gestes rituels des arènes espagnoles, la cinéaste livre un puissant voyage émotionnel, qui navigue du grand spectacle à la violence inouïe du sacrifice.


Shirley Clarke
États-Unis / 1953 / 9 min / DCP / VO

Avec Daniel Nagrin.

Pour son premier film, Shirley Clarke capte la performance du danseur Daniel Nagrin, qui réalise la même prestation dans un studio et sur une plage. En saisissant l'esprit du mouvement, mais aussi le style de Martha Graham, la caméra s'invite au bal pour célébrer le mariage réussi du corps et de l'espace.


Shirley Clarke
États-Unis / 1954 / 13 min / DCP / VO

Une journée dans un parc parisien, de l'ouverture à la fermeture. Dans la tradition avant-gardiste de l'entre-deux-guerres, Shirley Clarke signe un film de jeunesse, où la chorégraphie des corps devient un hommage à la joie, aux mouvements et à l'énergie de l'enfance.


Shirley Clarke, Robert Hughes
États-Unis / 1960 / 16 min / DCP / VOSTF

Court métrage financé par l'UNICEF, où Shirley Clarke met en parallèle de jeunes enfants qui célèbrent Halloween, et d'autres confrontés à la maladie ou à la faim aux quatre coins du monde. Une vision brutale et sans concessions de l'injustice et de l'inégalité.