L'ai-je vraiment vu, l'ai-je rêvé ? Même après des décennies, les recoins les plus profonds de la mémoire font soudainement resurgir des images de ce film étrange et puissant. — Peter Weir

Un homme et une femme se retrouvent ensablés, coupés de tout dans un Éden devenu synonyme d'enfer. Teshigahara filme le temps qui s'écoule, la vie et son éternel recommencement, dans une alternance de gros plans sensuels et de fondus poétiques. Une fable moderne et dépouillée sur l'amour et la condition humaine. Une merveille, Prix du jury à Cannes en 1964.