Un gendarme est témoin d'une agression et s'interpose, sans réaliser qu'il s'agit d'une scène destinée au cinématographe. Malmené par l'équipe du film, il retourne piteusement déjeuner chez lui.

Le 12 octobre 1913 a lieu la deuxième course de ballons aux Tuileries, à l'initiative de Gordon Bennett, homme de presse américain. La foule observe le départ des participants, que filment des opérateurs présents sur place.

Vues aériennes tournées par l'opérateur Albert Cohendy (dit « Coco »), extraites du reportage cinématographique de l'expédition organisée jusqu'en Afrique par Le Petit Parisien et Paramount à bord d'un triplace Caudron C-128.

Un incendie est signalé à Genève. L'opérateur réunit son matériel, qu'il range facilement dans les sacoches de sa moto, et se rend sur les lieux où il peut filmer l'événement en direct.

Visite des nouveaux studios des Cinéromans à Joinville, entre ateliers, magasins, et plateaux de tournage.

Les ateliers d'un laboratoire cinématographique révèlent les traitements successifs du film : développement des négatifs, séchage des films développés, développement et séchage des films Pathé-Baby, tirage des copies positives, pochoir et montage.

Les mésaventures du metteur en scène Jean Fortier sur le tournage de son nouveau film, La Conquête des Gaules. Fortier doit mener à bien la réalisation en dépit des obstacles : budget divisé par cent par le producteur, un César blessé, des badauds intervenant dans le champ parmi les figurants costumés en Romains...