Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Number One of the Secret Service se présente éhontément comme une alternative aux films de James Bond. La phrase de lancement fut d'ailleurs celle-ci : « Tell the other guy to move over. I'm number One ». Plus fauché et plus parodique que les productions consacrées au héros des livres de Ian Fleming, le film de Lindsay Shonteff met en scène un agent secret irrésistible et invincible aux trousses d'un tueur mégalomane et milliardaire, secondé par une troupe d'assassins excentriques. C'est sexy et gentiment idiot. On doit à son auteur, le canadien Lindsey Shonteff, fabricant de thrillers et de bandes érotiques à petits budgets, l'inquiétant La Poupée diabolique en 1964, dans le sous-genre « film-de-terreur-avec-un-ventriloque », et le féministe The Million Eyes of Sumuru en 1967.
Jean-François Rauger