Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Ce cas de conscience, c’est celui du chirurgien incarné par Cary Grant, écartelé entre son rôle de médecin et ses responsabilités de bon citoyen. Dans un pays d’Amérique du Sud qui évoque furieusement l’Argentine de Perón, l’acteur apporte avec lui une touche d’humour grinçant. Les dialogues sont incisifs, le rythme vif, les seconds rôles solides, comme Ramon Novarro ou José Ferrer. Mais l’intérêt est ailleurs : Cas de conscience est le premier film de Richard Brooks comme réalisateur, jusqu’alors scénariste pour Robert Siodmak, Jules Dassin ou John Huston. Avec au passage un petit coup de griffe à l’Amérique du pétrole, Brooks injecte du politique dans le mélo, et, déjà, laisse entrevoir les grands traits de sa filmographie à venir, sa soif de justice, de démocratie, et de liberté.