Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Des poursuites en voiture, en avion, à cheval, en carriole… Des quiproquos en cascade, une jeunesse avide de liberté qui se confronte aux adultes responsables et dépassés… Le choc entre deux mondes, cette fois entre cultures française et britannique, des curiosités gastronomiques (les huîtres dans la soupe au lait)… Louis de Funès marié pour la première fois à l’écran à la délicieuse Claude Gensac, et jouant le père de son fils Olivier… Le comédien parle anglais comme une vache espagnole, cabriole, joue des coudes et des poings, se déguise encore et toujours. Tous les ingrédients funèsiens sont là, qui, ensemble et mélangés avec ardeur, viennent parfaire la recette de la comédie familiale idéale. Le public ne s’y trompe pas, et plébiscite le film ; sorti deux mois tout juste après Oscar, ces Grandes vacances occupent la première place du box office pour l’année 67. Et, quelques mois avant mai 68, captent à leur manière l’air du temps, sur fond – léger – de contestation et de musique yéyé.