Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Après sa période hollywoodienne, Kontchalovski revient en Russie sur les lieux de son deuxième film, Le Bonheur d’Assia. Qu’est-ce qui a changé au kolkhoze, 25 ans plus tard ? L’argent. Et comme le dit le fils d’Assia : « Avant, y’avait que les communistes pour voler ; maintenant, tout le monde peut le faire. C’est ça la démocratie ! » Avec son film en forme de fable, Kontchalovski souhaite se libérer, repartir de zéro et filmer ce qui lui passe par la tête. « Je voulais tourner le dos au bon goût qui m’énerve de plus en plus. Plonger, insensiblement, le spectateur dans un léger fantastique… Connaissez-vous cette anecdote ? Un paysan russe rentre chez lui et dit : “La vache du voisin a crevé. Ce n’est rien, mais ça fait quand même plaisir !” C’est ça, le film : un regard gai sur une époque triste. »