Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
« C’est comme si on était parti faire un tour, en laissant le gaz ouvert » dit, dans Les Trottoirs de saturne, une des femmes de la petite communauté d’artistes latino-américains installée à Paris. Le film de Santiago baigne dans une ambiance faite d’espoir et d’angoisse, d’amour et de méfiance, où le fantastique rejoint le réalisme. C’est la complainte d’un exilé qui doute, tiraillé entre la nostalgie affective pour la patrie et l’attachement profond avec le pays d’adoption. Le sentiment de double appartenance d’un cinéaste, Argentin de Paris, qui affirme : « On ne perd jamais ses racines, mais on développe d’autres fleurs ».