Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Siegel maîtrise le rythme, la caméra, et réalise en vieux briscard ce film d'espionnage efficace : suspense, action, poursuites, dès la séquence d'ouverture, le tempo est donné. Charles Bronson est taciturne juste ce qu'il faut, Lee Remick lui donne la réplique avec piquant, Donald Pleasence inquiète et fascine. L'enjeu est clair : éviter une guerre nucléaire. Les agents soviétiques dormants évoquent furieusement la future série The Americans, et pour ne rien gâcher, la partition est signée par Lalo Schifrin, dont les notes semblent décidément nées pour accompagner à l'écran les Ford Mustang ou les Chevrolet des 70's. Mais l'intérêt principal du film réside dans sa malice, dans la vision de ces agents, qu'ils soient de la CIA ou du KGB, automates d'un autre temps que vient supplanter le personnage bourré d'humour de la jeune Putterman, véritable ordinateur... vivant.