Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Un Paris un peu carton-pâte, comme souvent dans le cinéma américain, sert de décor à ce drame sentimental. Richard Brooks adapte Scott Fitzgerald, qui s’était lui-même inspiré, pour sa nouvelle, de son propre couple tumulteux et de ses tendances destructrices. Le cinéaste n’est pas forcément dans sa zone de confort avec le mélo, mais il peut s’appuyer sur Van Johnson et surtout sur Elizabeth Taylor, parfaite, changeante et rayonnante. Dans cette construction en flashback, tout commence avec la liesse de la Libération, pour mieux prendre ensuite une couleur plus sombre. Au final, beaucoup de nostalgie, Paris idéalisé et, dans la distribution, un certain Roger Moore dans son premier vrai rôle au cinéma.