Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Libre adaptation de Jules Verne et de ses Tribulations d’un Chinois en Chine : quand le candidat au suicide, qui a changé d’avis, est poursuivi par les tueurs qu’il a lui-même engagés, les situations les plus rocambolesques s’enchaînent dans une comédie gentiment populaire. De la légèreté, des gags, et une séquence au piano qui rappelle que De Funès fut d’abord un très bon pianiste de jazz, se produisant dans des bars pour gagner sa vie, avant d’embrasser plus amplement sa carrière de comédien. Il tient ici pour la première fois le rôle principal, cabotine déjà, teste ses mimiques, papillonne des yeux, se frotte les mains. Autour de lui et de la jeune première Noëlle Adam s’épanouit une ribambelle de seconds rôles, parmi lesquels l’attachant Pierre Tornade, Moustache, ou une certaine Nadine Tellier, future baronne de Rothschild. Le cabaret s’appelle La Belle vie, Louis de Funès a des cheveux, et le film obtiendra un étrange prix, celui du « record du monde de rire » de l’année 1957…