Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Deux ans avant d’investir Saint-Tropez, Louis de Funès prend ses quartiers d’été à Deauville. C’est le début des sixties, entre insouciance et légèreté, Sacha Distel, alors en vogue, chante aux côtés de Ray Ventura et son orchestre. Nous irons à Deauville offre à Louis de Funès un rôle de vacancier irascible, nouvelle occasion de montrer son talent de râleur, son génie des mimiques et des grincements de dents. Il tourne en famille, entre anciens Branquignols, amis, ou têtes connues, Jean RIchard, Galabru, Carmet, Brasseur. C’est même son épouse Jeanne qui interprète sa femme. En écho au duo savoureux de Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, le tandem qu’il forme avec Serrault fait des étincelles, entre invectives et rivalités. De l’ouvrier au patron, toutes les classes sociales sont représentées, et la pittoresque station balnéaire constitue décidément un cadre idéal pour une comédie de vacances dans l’air du temps.