
samedi 8 février 2020, 19h00
Salle Henri Langlois
Exercice à partir de la chanson Faut pas rêver de Patrick Juvet (musique : Jean-Michel Jarre), diffusé en 1978 dans l'émission « On ne manque pas d'airs ».
Avec Camille Virolleaud, Arnaud Martin.
Conçu comme un feuilleton en douze épisode, les divers moments de la journée d'une petite fille et d'un petit garçon, sous le regard et les questions de JLG.
« Heureusement pour nous que Giordano Bruno avait des yeux pour voir, peut-être déjà entrouverts par les essais de Niepce, Daguerre, Cros, Lumière et Cie, d'où son livre constellé d'images qui éclairent un texte de façon nécessaire et suffisante. » (JLG)
Avec Camille Virolleaud, Arnaud Martin.
Conçu comme un feuilleton en douze épisode, les divers moments de la journée d'une petite fille et d'un petit garçon, sous le regard et les questions de JLG.
« Heureusement pour nous que Giordano Bruno avait des yeux pour voir, peut-être déjà entrouverts par les essais de Niepce, Daguerre, Cros, Lumière et Cie, d'où son livre constellé d'images qui éclairent un texte de façon nécessaire et suffisante. » (JLG)
Avec Camille Virolleaud, Arnaud Martin.
Conçu comme un feuilleton en douze épisode, les divers moments de la journée d'une petite fille et d'un petit garçon, sous le regard et les questions de JLG.
« Heureusement pour nous que Giordano Bruno avait des yeux pour voir, peut-être déjà entrouverts par les essais de Niepce, Daguerre, Cros, Lumière et Cie, d'où son livre constellé d'images qui éclairent un texte de façon nécessaire et suffisante. » (JLG)
Avec Camille Virolleaud, Arnaud Martin.
Conçu comme un feuilleton en douze épisode, les divers moments de la journée d'une petite fille et d'un petit garçon, sous le regard et les questions de JLG.
« Heureusement pour nous que Giordano Bruno avait des yeux pour voir, peut-être déjà entrouverts par les essais de Niepce, Daguerre, Cros, Lumière et Cie, d'où son livre constellé d'images qui éclairent un texte de façon nécessaire et suffisante. » (JLG)
« Radicalement antispectaculaire, maintenant hors du champ le véhicule de l'imagerie dominante (le téléviseur) et le moteur du dialogue (la mère), Faut pas rêver enregistre le quotidien dans toute sa simplicité et sa passivité. Créant ainsi un trou d'air dans le flux télévisé habituellement tissé de spectacles et mises en scène, cet essai polémique, expérimental et dialectique pose une question politique, celle de l'usage idéologique de la télévision. En cela, il formule l'objet du travail de Jean-Luc Godard et Anne-Marie Miéville à l'époque qui visaient, dans leurs séries Six fois deux, sur et sous la communication (1976) et France, tour, détour, deux enfants (1979), à proposer une autre télévision, proche des réalités sociales et capable de critique. » (Judith Revault d'Allonnes)