Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
« Pabst restitue une atmosphère – celle, si extraordinaire, si insolite, si inhumaine aussi, du bunker berlinois qui abrita les derniers jours du nazisme – et les quelques événements extérieurs, comme l’inondation du métro, qui s’insèrent dans cette étouffante tragi-comédie. Il l’a fait avec une admirable maîtrise, ne nous laissant pas une minute de répit et sachant faire alterner les moments de prostration et ceux d’hystérie individuelle ou collective. » (Le Franc-Tireur, 19/10/1955)
« Lorsqu’on m’a envoyé le scénario de La Chute (Oliver Hirschbiegel, 2004), j’ai regardé La Fin d’Hitler de G.W. Pabst. Le film m’a convaincu qu’il était possible de jouer Hitler : c’est Albin Skoda, un comédien venu du théâtre, qui campait alors le Führer. En général, on cherche à voir si le travail du comédien s’éloigne beaucoup de l’original, mais cette interprétation existait bel et bien indépendamment du modèle. J’ai alors compris qu’il ne s’agissait pas d’une parodie, mais d’un vrai travail d’acteur ! On peut interpréter cet étrange individu qu’était Hitler à travers ses propres fantasmes et ses propres lectures. » Bruno Ganz (Dossier de presse de La Chute)