Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
C’est le second film de viking de Bava, après La Ruée des vikings (1961). L’opulence du premier laisse ici place à une économie de moyens dont le cinéaste s’accommode avec grâce, comme à son habitude. Appelé à la rescousse par les producteurs pour remplacer au bout de quelques jours l’inexpérimenté Leopoldo Savona, le cinéaste plie le film en une semaine, fait d’un bout de plage un paysage épique et d’un scénario famélique une épopée bricolo, colorée et baroque. Les références évidentes, à la fois au péplum et au western américain, et plus précisément à L’Homme des vallées perdues (George Stevens), en font un objet insolite, un film de genre qui échapperait à tous les genres.
Mario Bava réalisa ce film sous le pseudonyme de John Hold.