Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Une portière qui claque comme une gifle qu’on ne peut pas donner. Une longue séquence sur une patinoire, sous la pluie. Jacques Charrier qui valse d’une femme à l’autre, d’abord gaiement, puis jusqu’à en souffrir… Le montage est dynamique, mais la caméra sait aussi s’attarder sur des visages, des yeux, en de magnifiques plans serrés. À cause, à cause d’une femme est un film d’un genre à part, entre Ophuls et des Drôles de dames des sixties, entre Verlaine et Prévert, un marivaudage policier, un cocktail de bagatelles porté par le charme et la fraîcheur de Mylène Demongeot et Marie Laforêt, et la beauté de Jill Haworth, l’adolescente découverte trois ans plus tôt dans Exodus de Preminger.