Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Marie Trintignant est magnifique, Jean-Hugues Anglade est séduisant, l’alchimie est là. Le parti pris de Deville est osé : deux acteurs nus, et à nu, un huis clos sensuel dans un décor dépouillé, un texte très présent en forme de dialogue quasi continu. C’est de l’amour à bâtons rompus, une nuit de séduction filmée dans une lumière douce et dorée qui embellit les corps. Au début, les deux amants tanguent entre le tu et le vous, ils se cherchent entre deux froissements de draps. La caméra entre dans l’intime, les plans sont serrés, très serrés, une main, une larme, la peau… Et, peu à peu, le corps fera place au cœur, et à l’âme.