Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Rester de marbre face à BB, résister à ses ruses enjôleuses, voilà tout l’enjeu pour l’ours Jean-Pierre Cassel. On sait d’emblée comment tout ça va finir, peu importe, Deville nous invite à une valse séduction, portrait de deux êtres et de deux mondes que tout sépare, aux accents résolument féministes – témoin cette scène où Bardot drague Cassel, déguisée en homme, inversant les rôles et forçant le trait. Joliment frivole, la star prend un plaisir évident à se pasticher et à jouer avec son image d’écervelée. « L’Ours et la poupée est un peu le Et Dieu créa la femme… des années 70. J’ai été recréée par Deville » déclarera-t-elle. Avec la musique de Rossini en appoint, cette comédie de séduction a le charme simple d’un divertissement léger et sans prétention.