Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
« Nice – Studios de la Victorine. Juillet 1955. Le soleil est brûlant, la mer est bleue. Dans la fraîcheur du plateau D, quelques hommes sont réunis. Le silence règne : Pablo Picasso, torse nu, en short, les jambes incroyablement jeunes et le regard (son regard !) perçant, Pablo Picasso se laisse aller à son imagination devant une toile blanche. Une caméra est braquée sur le châssis qui supporte la toile. Près de l'appareil, Henri-Georges Clouzot, bronzé, attentif, à la fois grave et détendu, serein et soucieux. Clouzot songe depuis longtemps à "faire quelque chose" avec Picasso, auquel le lie une amitié de vingt ans. Mais quoi faire ? Certainement pas un film courant. Certainement pas un film d'art habituel. Non. Aller plus profond, aller au cœur du problème, surprendre l'acte créateur. Mais comment ? » (Henri Colpi)