Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
« Seul le cristal peut analogiquement donner une idée tant de la luminosité de ce film que du montage à facettes dont l'a pourvu Marguerite Renoir. Seul ce film pouvait, comme le cristal, réunir en une seule flamme la gamme infinie d'éclairages qui lui venaient de tous les horizons. » André S. Labarthe (Les Cahiers du cinéma, juin 1956)
« Le film appartient à Lucia Bosè. Il suffit qu'elle lève au centre de l'écran ses grands yeux noirs comme l'obsidienne pour que la salle se sente transpercée par une fraîcheur qu'on voudrait à jamais perpétrer. Je ne connais pas de visage féminin qui à l'écran puisse avec si peu d'artifices provoquer tant d'immédiate fascination. Elle représente pour le héros une compagne, de celles qui rendent la vie aussi légère qu'un soupir. Le visage de Lucia Bosè vous regardant en face, cela s'appelle l'aurore. » Robert Benayoun (Demain, 17 mai 1956)