Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
« Bien sûr que l'homme aujourd'hui se sent perdu. Mais pas parce que la femme se libère. Parce que la société a éclaté. L'Homme (homme ou femme) est construit par la société. On lui a inculqué des principes – travail, famille, patrie – qui n'ont plus cours. La vie de couple donnait au mâle la possibilité d'être le maître de ces cellules qui étaient la base de la société. Aujourd'hui tout a éclaté, les principes comme les structures, l'Homme doit partir à la recherche de son identité. Dans cette quête, si le désarroi de la femme est moins grand que celui de l'homme, c'est qu'elle n'a jamais perdu, elle, son identité : elle n'en avait pas. De plus, pour se trouver une identité, il lui reste au moins la maternité qui est une réalité biologique ; il lui reste un langage souterrain, une vision fantastique du monde que n'a pas l'homme. La paternité n'est pas une réalité biologique ; elle est un concept ; pourquoi le personnage de Depardieu, Lafayette, accepterait-il ? Aujourd'hui l'homme veut troquer la paternité contre la maternité, et la femme, la maternité contre la paternité. Lafayette est un homme de transition, mal dans sa peau. »
Marco Ferreri