Technique et art de James Cameron

Technique et art de James Cameron
Conférence de Philippe Loranchet

James Cameron n'a jamais cessé de pousser Hollywood vers les nouvelles technologies, la « creativity », comme il l'explique en 1993 lors de la sortie de Terminator 2, joyau bourré d'effets graphiques CGI et morphing. Après avoir sollicité les services de la Industrial Light and Magic de George Lucas, Cameron cofonde sa propre fabrique d'effets spéciaux en 1993 : Digital Domain. Abyss, Titanic ou encore Avatar contiennent une multitude d'effets spéciaux inédits, des images de synthèse d'avant-garde, des plans d'une précision et d'une audace époustouflantes. Les Avatar sont à chaque fois des bombes technologiques poussées à l'extrême : 3D perfectionnée, HFR ou HDR, performance capture, son Atmos, caméra Simulcam... Une conférence pour décortiquer l'art et la manière du cinéaste.


Journaliste spécialisé pour le magazine Écran total, Philippe Loranchet suit depuis 25 ans l'actualité des industries techniques en France. Ingénieur de l'école des Mines, et titulaire d'un Master à HEC, il est l'auteur de l'ouvrage Cinéma numérique : la technique derrière la magie (Éditions Dujarric) et explore les applications de l'IA Générative au Cinéma.