Générique
Réalisateur :
Georg Wilhelm Pabst
Assistant réalisateur :
Auguste Barth
Scénaristes :
Axel Eggebrecht, Georg Wilhelm Pabst, Walther vonHollander
Auteur de l'oeuvre originale :
Olly Boeheim d'après le roman "Philine"
Société de production :
Bavaria Filmkunst GmbH (München)
Producteur :
Hans Schweikart
Directeur de production :
Gerhard Staab
Directeur de la photographie :
Bruno Stephan
Ingénieur du son :
Emil Specht
Compositeur de la musique originale :
Lothar Brühne
Décorateurs :
Julius vonBorsody, Herbert Hochreiter
Costumier :
Maria Pommer-Uhlig
Monteur :
Ludolf Grisebach
Régisseurs :
Willy Laschinsky, Theo Kaspar
Photographe de plateau :
Ferdinand Rotzinger
Interprètes :
Käthe Dorsch (Caroline Neuber), Hilde Krahl (Philine Schröder), Henny Porten (la duchesse Amalia von Weissenfels), Richard Häussler (le baron Armin von Perckhammer), Gustav Diessl (le duc Ernst Biron von Kurland), Friedrich Domin (Johann Neuber), Ludwig Schmitz (Müller, le bouffon), Sonja-Gerda Scholz (La Feigin), Lucy Millowitsch (Demoiselle Lorenz), Bettina Moissi (Victorine), Walter Janssen (le cuisinier), Alexander Ponto (Kohlhardt), Viktor Afritsch (le comte Paul Teuchan), Kurt Müller-Graf (Studiosus Gotthold Lessing), Arnulf Schroder (Klupsch), Hans Stiebner (Schröder), Harry Langewisch (le professeur Gottsched), Erich Dunskus (le général du duché), Karin Evans (Vera, la cousine), Erna Sellmer (Amme Armins), Reinhold Pasch (le compagnon Russe de Neuber), Janne Furch (une comédienne de la troupe de Neuber), Edith Meinel (une comédienne de la troupe de Neuber), Alice Franz (une comédienne de la troupe de Neuber), Maria Sigg (une comédienne de la troupe de Neuber), Gertrud Schneider (une comédienne de la troupe de Neuber), Margarete Henning-Roth (la préposée au vestiaire), Barbara Pleyer, Ernst Legal, Kurt Stieler, Nikolaj Kolin, Leopold vonLedebur, Ullrich Haupt, Julius Frey
« Quelle ampleur, quelles scènes magnifiques, quelle vie ! Pabst, c’est l’incarnation même du cinéma et chacune de ses œuvres est comme un renouvellement de ses dons. Je n’oublierai pas notamment la scène de l’orgie qui envahit tout un château et ne cesse de progresser en intensité. On dirait que l’objectif est devenu diabolique ou dionysiaque pour saisir dans un mouvement frénétique les divers aspects de cette fête, de cette mascarade qui, partie de la salle du festin, gagne bientôt les combles, la cave, envahit à la manière d’un incendie général. » Pierre Heuzé (Ciné-mondial, 26/06/1942)