Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Turning Gate Saenghwalui balgyeon [생활의 발견
Hong Sang-soo
Corée / 2002 / 115 min
Avec Kim Sang-kyung, Ye Ji-won.
Kyung-soo, un comédien de théâtre sur le déclin, rend visite à un vieil ami écrivain. Celui-ci lui présente une danseuse, que Kyung-soo tente de séduire.
Titre inspiré d’une légende chinoise, Turning Gate raconte les pérégrinations sentimentales d’un garçon en manque de repères, enchaînant les parties de beuverie et les rapports sexuels avec la même tristesse résignée. Attaché aux jeux du récit, Hong amène son héros à rebrousser chemin pour mieux changer de destin, passant du statut d’homme désiré à celui d’homme qui désire. Mais les sentiments ne sont jamais partagés et rien ne console le solitaire pris d’envie charnelle. Les portes s’ouvrent et se ferment aussi sec dans son histoire d’amour au mantra désabusé : « Il est difficile d’être humain, essayons de ne pas devenir des monstres ».
Générique
Réalisateur :
Hong Sang-soo
Scénariste :
Sang-soo Hong
Société de production :
Miracin Korea (Séoul)
Producteur :
Lee Hanna
Producteurs exécutifs :
Byung-Joo Ahn, In-Ki Choi
Distributeur d'origine :
MK2 Diffusion (Paris)
Directeur de la photographie :
Young-taek Choi
Ingénieurs du son :
Sang-Ho Ahn, Won-Chul Oh
Compositeur de la musique originale :
Il Won
Costumier :
Yoon-Mi Cho
Maquilleur :
Yoon-Joo Cho
Monteur :
Sung-won Ham
Interprètes :
Sang-kyung Kim (Gyung-Soo), Ji-Won Yea (Myung-Sook), Sang-Mi Chu (Sun-Young), Hak-sun Kim (Seong-wu)
Titre inspiré d’une légende chinoise, Turning Gate raconte les pérégrinations sentimentales d’un garçon en manque de repères, enchaînant les parties de beuverie et les rapports sexuels avec la même tristesse résignée. Attaché aux jeux du récit, Hong amène son héros à rebrousser chemin pour mieux changer de destin, passant du statut d’homme désiré à celui d’homme qui désire. Mais les sentiments ne sont jamais partagés et rien ne console le solitaire pris d’envie charnelle. Les portes s’ouvrent et se ferment aussi sec dans son histoire d’amour au mantra désabusé : « Il est difficile d’être humain, essayons de ne pas devenir des monstres ».