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D'après la pièce Wednesday's Child de Leopold L. Atlas.
Avec Sharyn Moffett, Regis Toomey, Madge Meredith.
Le premier film de Richard Fleischer, l'histoire d'un divorce acrimonieux filmé à hauteur d'enfant, dont le réalisme fit sensation à l'époque. Alors que rien n'est épargné à sa jeune héroïne, cible des moqueries de ses amis, abandonnée par ses parents – aucun d'eux n'en veut réellement la garde –, Fleischer évite toute forme de mélodrame ou de pathos, sur un sujet qui sera souvent traité ensuite avec force misérabilisme par Hollywood. C'est dire la grande modernité du film, éclatante dès son premier plan, bouleversante dans le tout dernier.
Générique
Réalisateur :
Richard Fleischer
Assistant réalisateur :
Maxwell Henry
Scénariste :
Lillie Hayward
Auteur de l'oeuvre originale :
Leopold L. Atlas d'après le roman "Wednesday's Child"
Société de production :
RKO Radio Pictures - Radio-Keith-Orpheum
Producteur :
Lillie Hayward
Producteur exécutif :
Sid Rogell
Directeur de la photographie :
Jack MacKenzie
Ingénieur du son :
Earl A. Wolcott
Compositeur de la musique originale :
Leigh Harline
Directeurs artistiques :
Albert S. D'Agostino, Ralph Berger
Décorateurs :
Darrell Silvera, William Magginetti
Monteur :
Samuel E. Beetley
Coordinateur des effets spéciaux :
Russell A. Cully
Interprètes :
Sharyn Moffett (Bobby), Regis Toomey (Ray), Madge Meredith (Joan), Walter Reed (Michael), Una O'Connor (Nora), Doris Merrick (Louise), Harry Cheshire (le juge), Selmer Jackson (le docteur Sterling), Lillian Randolph (Carrie), Pat Prest (Linda), Gregory Muradian (Freddie), George McDonald (Donnie), Patsy Converse (Betty), Ann Carter (Peggy), Arthur Space, William Forrest
Le premier film de Richard Fleischer, l'histoire d'un divorce acrimonieux filmé à hauteur d'enfant, dont le réalisme fit sensation à l'époque. Alors que rien n'est épargné à sa jeune héroïne, cible des moqueries de ses amis, abandonnée par ses parents – aucun d'eux n'en veut réellement la garde –, Fleischer évite toute forme de mélodrame ou de pathos, sur un sujet qui sera souvent traité ensuite avec force misérabilisme par Hollywood. C'est dire la grande modernité du film, éclatante dès son premier plan, bouleversante dans le tout dernier.