Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Cœurs en lutte Die Kämpfende Herzen
Fritz Lang
Allemagne / 1921 / 78 min
D'après la pièce de théâtre Florence oder Die Drei bei der Frau de Rolf E. Vanloo.
Avec Carola Toelle, Hermann Böttcher, Ludwig Hartau.
Harry Yquem, spéculateur boursier, achète pour sa femme Florence un bijou d'une grande valeur dans les bas-fonds de la ville. Un jour, Yquem aperçoit un homme, Werner Krafft, avec qui sa femme avait eu autrefois une liaison.
Sur fond de drame conjugal à suspense, une peinture sociale de la haute bourgeoisie, dont le personnage principal, spéculateur boursier, errant déguisé dans les bas-fonds clandestins, préfigure un certain docteur Mabuse.
Générique
Réalisateur :
Fritz Lang
Scénaristes :
Thea vonHarbou, Fritz Lang
Auteur de l'oeuvre originale :
Rolf E. Vanloo d'après la pièce de théâtre "Florence oder Die Drei bei der Frau"
Société de production :
Decla-Bioscop AG (Berlin)
Producteur :
Erich Pommer
Directeur de la photographie :
Otto Kanturek
Décorateurs :
Ernst Meiwers, Hans Jacoby
Interprètes :
Carola Toelle (Florence Yquem, née Forster), Hermann Böttcher (le père), Ludwig Hartau (Harry Yquem), Anton Edthofer (Werner Krafft, l'ancien amoureux de Florence/William Krafft, son frère), Hans Lipschütz (Ganove), Rudolf Klein-Rogge (Upton, le patron de bouge et receleur), Robert Forster-Larrinaga (Meunier, l'homme aux faux billets), Lilli Lohrer (la première servante de Florence), Harry Frank (Bobby), Paul Rehkopf (un malfaiteur), Leonhard Haskel (un malfaiteur), Gottfried Huppertz (le maître d'hôtel), Hans Lippschitz (un voyou), Lisa vonMarton (Margot, la femme libre et amie de Florence), Erika Unruh (une prostituée), Paul Morgan (le fabricant de faux bijoux), Edgar Pauly (l'homme discret), Gerhard Ritterband (le crieur de journaux)
Sur fond de drame conjugal à suspense, une peinture sociale de la haute bourgeoisie, dont le personnage principal, spéculateur boursier, errant déguisé dans les bas-fonds clandestins, préfigure un certain docteur Mabuse.