Générique
Réalisateur :
Bertrand Bonello
Assistants réalisateurs :
Matthew Gledhill, Raphaël Chevènement
Scénariste :
Bertrand Bonello
Sociétés de production :
Haut et Court (Paris), In Extremis Images (Montréal)
Producteur :
Carole Scotta
Coproducteur :
Bruno Jobin
Producteurs associés :
Caroline Benjo, Simon Arnal-Szlovak
Producteurs exécutifs :
Barbara Letellier, Stéphane Choquette
Directeur de production :
Elise Voitey
Distributeur d'origine :
Haut et Court (Paris)
Directeur de la photographie :
Josée Deshaies
Ingénieur du son :
François Maurel
Mixeur :
Louis Gignac
Compositeur de la musique originale :
Laurie Markovitch
Compositeurs de la musique préexistante :
Georg Friedrich Haendel "Concerto opus VI n°6, larghetto e affetuoso", Philip Glass "Opening", Antonio Vivaldi "Concerto pour piccolo FVI n°4 en do majeur", Richard Wagner "Mild und Leise wie er lachelt" extrait de "Tristan et Isolde", Les Innocents "Danny Wilde", Gustav Mahler "Symphonie n°7 (Finale)" et "Symphonie n°9", Rita Mitsouko "Marcia baila", Jean-Sébastien Bach "Cantate" extrait de "Christ lag in Todesbanden BWV 4"
Décorateur :
Romain Denis
Costumiers :
Romane Bohringer, Elisabeth Méhu
Maquilleurs :
Sylvie Aïd, Valérie Tranier, Delphine Jaffart
Monteur :
Fabrice Rouaud
Script :
Maria Davidovici
Régisseur :
Ludovic Leiba
Directeur de casting :
Brigitte Moidon
Coordinateurs des effets sonores :
Simon Meilleur, Benoît Leduc
Photographe de plateau :
Jean-Claude Lother
Interprètes :
Jean-Pierre Léaud (Jacques Laurent), Jérémie Renier (Joseph), Dominique Blanc (Jeanne), Thibault deMontalembert (Richard), André Marcon (Louis), Alice Houri (Monika), Ovidie (Jenny), Catherine Mouchet (Olivia Riochet), Laurent Lucas (Carles), Xavier Aubert, Thomas Blanchard, Clara Choveaux, Jérémie Elkaïm, Nadia Nataf, Franck Richard, Boris Salles, Violetta Sanchez, K. Sandra, Ségolène Savoff, Marcelo Novais Teles, Titof, Richaud Valls, Guillaume Verdier, Bernard Viguier, HPG
À travers le portrait d'un cinéaste de films pornos vieillissant, Bonello livre une brillante réflexion sur le cinéma, la filiation et l'engagement politique, habitée par la gaucherie mélancolique de l'irréductible Jean-Pierre Léaud.