Générique
Réalisateur :
Cédric Kahn
Assistant réalisateur :
Valérie Mégard
Scénariste :
Cédric Kahn
Auteur de l'oeuvre originale :
Pascale Froment d'après le livre "Je te tue. Histoire vraie de R. S. assassin sans raison"
Société de production :
Agat Films & Cie
Coproduction :
Diaphana (Paris), Ex Nihilo (Paris), France 3 Cinéma, Gimages Développement, Vega Film AG (Zürich)
Producteur associé :
Ruth Waldburger
Producteurs délégués :
Gilles Sandoz, Patrick Sobelman
Directeur de production :
Malek Hamzaoui
Distributeur d'origine :
Diaphana (Paris)
Directeur de la photographie :
Pascal Marti
Opérateur steadycam :
Carlos Cabeceran, Jean-Michel Fages
Ingénieur du son :
Eric Devulder
Mixeur :
Jean-Pierre Laforce
Compositeur de la musique originale :
Julien Civange
Compositeurs de la musique préexistante :
Culture Club "Love is love", Marianne Faithfull "Sleep", George McRae "Rock your baby", Jesse Green "Nice'n'slow"
Décorateur :
François Abelanet
Costumiers :
Nathalie Raoul, Isabelle Sanchez, Isabelle Blanc
Maquilleur :
Sylvia Carissoli
Monteur :
Yann Dedet
Script :
Élodie Van Beuren
Régisseur :
Bruno Ghariani
Directeur de casting :
Sarah Teper
Coordinateurs des effets spéciaux :
Pierre-Olivier Persin, Philippe Van Herwijnen, Marc Neyrinck, Philippe Alleton, Yann Lecorche, Julien Marty, Pierre Turmeau
Photographe de plateau :
Jean-Claude Lother
Interprètes :
Stefano Cassetti (Kurt, Roberto Succo), Isild Le Besco (Léa), Patrick Dell'Isola (Thomas), Vincent Dénériaz (Denis, le jeune assistant de Thomas), Aymeric Chauffert (Delaunay, l'assistant de Thomas), Viviana Aliberti (l'institutrice suisse), Estelle Perron (Céline Simon), Leyla Sassi (Cathy), Catherine Decastel (Patricia), Olivia Carbonini (l'hôtesse de l'Etna bar), Basile Vuillemin (Ludovic, l'enfant), Brigitte Raul (la mère de l'enfant), Marius Bertram (le chauffeur de taxi), Elina Löwensohn (Françoise Cottaz), Yelda Reynaud (Mylène, l'agent de police), Fejria Deliba (la médecin légiste), Philippe Bossard (le magistrat), Bernard Cupillard (le lieutenant Guillot), Christian Bouffe (l'agent de police Talloires), Luc Mahler (l'agent de police Semnoz), Pierre Baux (le mari de Françoise Cottaz), Pasquale D'Inca (l'homme en pyjama), Jade Duviquet (la femme en chemise de nuit), Vincent Montignon (l'homme à la ferme), Catherine Belkhodja (la mère de Léa), Nicolas Favre (le petit ami de Léa), Cynthia Bamoudrou (la cousine de Léa), Christophe Olivier (Marco), Michel Poyard (le propriétaire de l'Auberge du Lac), William Daudin (le témoin de la bretelle de Marseille), Nathalie Montcho (la femme de la bretelle de Marseille), Mohamed Khiter (le policier de la bretelle de Marseille), Olivier Fornara (Christian, le marin du Foch), Jean-Pierre Berod (Luigi, le propriétaire de l'Etna bar), Philippe Sabran (l'assistant du propriétaire de l'Etna bar), Noël Brussey (le policier avec le pistolet), Pasquin Gras (le jeune policer avec le pistolet), Danilo Vivan (l'inspecteur italien), Roberto Molo (l'assistant de l'inspecteur), Gianni Rizzeto (Gregorio, le policier italien), Maurizio Dal Corso (un policier), Philippe Diamantis (un policier), Giorgio Marcozzi (le juge Moro), Giovanni Tomassetti (l'avocat de Succo), Paolo Lazzaro (le garde de la prison), Frédéric Biousse (Fayolle, le policier touché), Sylviane Mook (la femme dans les toilettes), Geneviève Bachelier (la mère de Succo), Jean-Paul Veillon (le père de Succo), Jean-Yves Vergnes, Cloé Louveton, Vincent Rey-Millet, Laurent Brun, Cyrille Hertel, Nicolas Braccini, Caroline Delieutraz, Elodie Dalliere, Valérie Tailland, Anne Le Nabour, Grégory Bertrand, Stéphane Doss, Greg Caillon, Gregory Combier, Cyril Cottereau, Jacques Reiff
La vie du tueur en série italien Roberto Succo dans un thriller au cordeau, qui scrute le désordre mental et existentiel d'un personnage imprévisible. Grâce à un montage multipliant les points de vue, Cédric Kahn retrace un jeu du chat et de la souris, dominé par un assassin sans raison. Dans une mise en scène façon reconstitution judiciaire, la folie ne trouve aucune explication, sinon celle du douloureux passage à l'âge adulte. Surprenant de charisme et de candeur, Stefano Cassetti livre une prestation frénétique, soulignée par une nomination au César du meilleur espoir masculin.