Générique
Réalisateur :
Sofia Coppola
Réalisateur seconde équipe :
Roman Coppola
Scénariste :
Sofia Coppola
Auteur de l'oeuvre originale :
Jeffrey Eugenides d'après le roman "The Virgin Suicides"
Sociétés de production :
American Zoetrope, Eternity Pictures, Muse Productions
Producteurs :
Francis Ford Coppola, Julie Costanzo, Dan Halsted, Chris Hanley
Distributeur d'origine :
Pathé Distribution
Directeur de la photographie :
Edward Lachman
Compositeur de la musique originale :
Air
Directeur artistique :
Jon Goulding
Décorateur :
Megan Less
Costumier :
Nancy Steiner
Monteur :
James Lyons
Directeur de casting :
John Buchan
Photographe de plateau :
Corinne Day
Interprètes :
James Woods (Monsieur Lisbon), Kathleen Turner (Madame Lisbon), Kirsten Dunst (Lux Lisbon), Josh Hartnett (Trip Fontaine), Danny DeVito (le docteur Hornicker), Scott Glenn (le père Moody), Michael Pare (Trip Fontaine aujourd'hui), Hanna R. Hall (Cécilia Lisbon), Chelse Swain (Bonnie Lisbon), A.J. Cook (Mary Lisbon), Jonathan Tucker (Tim Weiner), Anthony DeSimone (Chase Buell), Robert Schwartzman (Paul Baldino), Lee Kagan (David Barker), Chris Hale (Peter Sisten), Joe Dinicol (Dominic Palazzolo), Suki Kaiser (Lydia Perl), Dawn Greenhalgh (Madame Scheer), Allen Stewart-Coates (Monsieur Scheer), Leslie Hayman (Thérèse Lisbon), Noah Shebib (Parkie Denton), Giovanni Ribisi (la voix du narrateur), Joe Roncetti (Kevin Head), Hayden Christensen (Jake Hill Conley), Sherry Miller (Madame Buell), Jonathan Whittaker (Monsieur Buell), Michelle Duquet (Madame Denton), Murray McRae (Monsieur Denton), Roberta Hanley (Madame Weiner), Paul Sybersma (Joe Larson), Susan Sybersma (Madame Larson)
Le spleen de l'adolescence et la naissance du désir filmés dans une langueur évanescente. Pour son premier film, Sofia Coppola adapte le roman de Jeffrey Eugenides et l'enveloppe d'une atmosphère cotonneuse, qui témoigne de l'alchimie mystérieuse entre filles et garçons à l'âge des premiers émois. De l'impossible récit initiatique à la quête d'émancipation tuée dans l'œuf par abus de puritanisme, elle impose un style aérien, soutenu par la musique du groupe Air, dont la douceur ne dissimule jamais l'issue dramatique inévitable. Un classique du cinéma américain des années 90.