Générique
Réalisateur :
John Guillermin
Assistant réalisateur :
Fred Slark
Scénariste :
Bryan Forbes
Auteur de l'oeuvre originale :
M.E. Clifton James d'après le roman "I Was Monty's Double"
Sociétés de production :
ABPC - Associated British Picture Corporation, Associated British-Pathé-Limited (London)
Producteur :
Maxwell Setton
Producteur associé :
John Palmer
Directeur de production :
William Hill
Distributeur d'origine :
Rank Overseas Film Distributors
Directeur de la photographie :
Basil Emmott
Cadreur :
Gus Drisse
Ingénieurs du son :
Fred Ryan, Len Shilton
Compositeur de la musique originale :
John Addison
Créateur des décors :
Wilfred Shingleton
Directeur artistique :
William Hutchinson
Costumier :
Ernest Farrar
Maquilleur :
Stuart Freeborn
Coiffeur :
Barbara Barnard
Monteur :
Max Benedict
Script :
Pamela Carlton
Directeur de casting :
David Booth
Coordinateur des effets spéciaux :
Wally Veevers
Photographe de plateau :
Laurie Ridley
Interprètes :
John Mills (le major Harvey), Cecil Parker (le colonel E.F. Logan), Michael Hordern (le gouverneur de Gibraltar), Vera Day (Angela Cook), Leslie Phillips (le major Tennant), Victor Maddern (le sergent sous la tente), Bryan Forbes (le lieutenant Butterfield), Marne Maitland (le propriétaire arabe), Barbara Hicks (Hester Baring), Alfie Bass (le petit homme dans le train), James Hayter (le sergent Adams), MacDonald Parke (le général américain), Sidney James (le porteur de l'auberge de jeunesse), Duncan Lamont (le commandant Bates), Patrick Allen (le colonel Matthers), Patrick Holt (le colonel Dawson), Maureen Connell (Peggy), Martin Shaban (le correspondant de guerre), Harry Fowler (le civil), Walter Gotell (le colonel allemand), John Gale (le lieutenant Osborne), John Le Mesurier (l'adjudant), Frederick Jaeger (le jeune officier allemand), Clifton James (le général Montgomery), Marius Goring (Karl Nielson), Anthony Sagar (le sergent à la villa), Kenneth J. Warren (l'officier Davies), Brian Weske (le messager à moto), Bill Nagy (le capitaine américain), Edward Judd (le soldat énervé), Desmond Roberts (le brigadier), Victor Beaumont (l'officier du commando), Ronald Wilson (le chauffeur américain), George Eugeniou (Garcia), John Heller (le sergent allemand), David Davies (le controleur de la police militaire), David Lodge (le sergent Matthews), Sam Kydd (l'intermédiaire), Allan Cuthbertson (l'officer des gardes), Ronnie Stevens (le correspondant de Harvey au MI5), Max Butterfield (un garde à la villa), Michael Oliver (un garde à la villa), Geoffrey Hibbert (le caporal Cooper), Ian Whittaker (un soldat sous la tente), Alfred Maron (un soldat sous la tente), Patrick Connor (un soldat sous la tente), Michael Bird (le patron du pub), Diana Beaumont (la barmaid), Éric Francis (le portier), Derek Briggs (le chauffeur), David Browning (le sergent chauffeur), Max Faulkner (le garde), Ernst Walder (le marin du u-boat), Michael Bell (l'officer de marine américain), Douglas Blackwell (le sergent en poste), Otto Friese (l'officier), Freddy Clark (l'aide de camp sous la tente), John Dunbar (le policier), Gordon Harris (le sergent-chef), Donald Price (le commandant des gardes)
« Contre-espionnage à Gibraltar, réalisé en 1959 par John Guillermin, décrit une opération d'enfumage montée par les services secrets qui ont baladé, durant quelques jours, un sosie du général Montgomery afin de duper les Allemands et de les diriger sur une fausse piste concernant le lieu du futur débarquement en Europe. Le film a l'attrait de ces récits d'imposture dans lesquels un personnage doit se faire passer pour un autre, situation potentiellement riche à la fois en suspense et en quiproquos humoristiques. Le moment où le faux Montgomery gruge une assemblée d'officiers américains en jouant une forme de bonhomie débonnaire est particulièrement emballant. La caution de vérité est ici, de façon amusante, accentuée par le fait que le véritable protagoniste de cette affaire, le comédien M. E. Clifton James, y joue son propre rôle de faux général Montgomery mais aussi celui du vrai général, vertigineuse mise en abyme où le vrai devient une garantie du faux. » (Jean-François Rauger)