Générique
Réalisateur :
Richard Lester
Réalisateur seconde équipe :
Robert Stevens
Assistants réalisateurs :
Javier Carrasco, Steve Lanning, Roberto Parra
Scénariste :
David Tringham
Société de production :
Holmby Pictures
Producteurs :
Arlene Sellers, Alex Winitsky
Producteur délégué :
Denis O'Dell
Directeurs de production :
Diego Sempere, Barrie Melrose
Directeur de la photographie :
David Watkin
Cadreurs :
Freddie Cooper, Eduardo Noé
Ingénieurs du son :
Roy Charman, Gerry Humphreys
Compositeur de la musique originale :
Patrick Williams
Créateurs des décors :
Philip Harrison, Gil Parrondo
Directeur artistique :
Dennis Gordon-Orr
Décorateurs :
Emilio Ardura, Ian Whittaker
Costumier :
Shirley Russell
Maquilleur :
José Antonio Sánchez
Coiffeur :
María Carmen Alberdi
Monteur :
John Victor Smith
Script :
Ann Edwards
Directeurs de casting :
Mike Fenton, Mary Selway, Pedro Sopeña
Coordinateurs des effets spéciaux :
Peter Hutchinson, Antonio Parra
Cascadeur :
Miguel Pedregosa
Photographes de plateau :
Oscar Abolafia, Federico G. Grau
Interprètes :
Sean Connery (le major Robert Dapes), Brooke Adams (Alexandra Lopez de Pulido), Jack Weston (Larry Gutman), Hector Elizondo (le capitaine Raphael Ramirez), Denholm Elliott (Donald Skinner), Martin Balsam (le général Bello), Chris Sarandon (Juan Pulido), Danny de laDe La Paz (Julio Mederos), Lonette McKee (Therese Mederos), Alejandro Rey (Faustino), Louisa Moritz (Miss Wonderly), Dave King (l'attaché de presse de Miss Wonderly), Walter Gotell (Don Jose Pulido), David Rappaport (Jesus), Wolfe Morris (le général Fulgencio Batista), Michael Lees (Roger Maxwell-Lafroy), Tony Mathews (Carrillo), Roger Lloyd-Pack (Nunez), Leticia Garrido (Celia), Maria Charles (la señora Pulido), Pauline Peart (Dolores), Anna Nicholas (Maria), Earl Cameron (le colonel Rosell Leyva), John Morton (Gary), Anthony Pullen Shaw (Spencer), Stefan Kalipha (Ramon, le contremaître), Ram John Holder (le gros sergent), James Turner (le chauffeur de Pulido)
Portée par un Sean Connery inspiré, une histoire d'amour avec pour toile de fond la révolution cubaine. Lester livre en filigrane sa vision de l'absurdité de la vie, dans un film qui revendique une certaine parenté avec le Casablanca de Michael Curtiz.