Générique
Réalisateur :
Michel Deville
Assistants réalisateurs :
Rosalinde Deville, Thierry Bidault
Scénaristes :
Michel Deville, Rosalinde Deville
Auteur de l'oeuvre originale :
Raymond Jean d'après le roman "La Lectrice" et le recueil de nouvelles "Un fantasme de Bella B. et autres récits"
Sociétés de production :
Éléfilm (Boulogne-Billancourt), AAA - Acteurs Auteurs Associés, TSF Productions, Ciné Cinq
Producteurs :
François Ruggieri, Denis Chateau, Xavier Gélin
Producteur délégué :
Rosalinde Deville
Directeur de production :
Franz-Albert Damamme
Distributeur d'origine :
AAA - Acteurs Auteurs Associés
Directeur de la photographie :
Dominique Le Rigoleur
Cadreur :
Max Pantera
Ingénieurs du son :
Philippe Lioret, Guy Level
Mixeur :
Claude Villand
Compositeur de la musique originale :
Quentin Damamme
Compositeur de la musique préexistante :
Ludwig vanBeethoven
Décorateur :
Thierry Leproust
Costumier :
Cécile Balme
Maquilleur :
Joël Lavau
Monteur :
Raymonde Guyot
Script :
Laurence Lemaire
Régisseurs :
Isabelle Arnal, Jean-Paul Salomé
Coordinateurs des effets sonores :
André Naudin, Gadou Naudin
Photographe de plateau :
Michel Deville
Interprètes :
Miou-Miou (Constance / Marie), Patrick Chesnais (le PDG), Maria Casarès (la générale), Pierre Dux (le magistrat), Simon Eine (le professeur d'hôpital), Christian Blanc (le vieux maître), Jean-Luc Boutté (le commissaire), Régis Royer (Eric), Brigitte Catillon (la mère d'Eric), Sylvie Jean (la secrétaire de l'agence), Isabelle Janier (l'infirmière bavarde), Maria deMedeiros (l'infirmière muette), Hito Jaulmes (Joël), Charlotte Farran (Coralie), Marianne Denicourt (Bella), Sylvie Laporte (Françoise), Christian Ruche (Jean), Léo Campion (le grand-père), Bérangère Bonvoisin (la mère de Jôël), André Wilms (l'homme de la rue Saint-Landry), Michel Raskine (l'homme de l'agence), Clotilde deBayser (la mère de Coralie)
Pour le charme ingénu de Miou-Miou, pour le plaisir de revoir la grande Casarès en Générale russe marxiste ou Pierre Dux en magistrat égrillard, et pour l’exercice de style… Voir La Lectrice, c’est entrer de plain pied dans un univers à la fois poétique et absurde, doucement érotique, où réalité, fiction, roman et film s’entremêlent constamment. Miou-Miou vend sa voix comme elle vendrait son corps, ou son âme. Elle passe d’un client à l’autre, d’un décor à l’autre, comme elle changerait de chapitre. De Prévert à Duras, de Maupassant à Sade, de Marx à Baudelaire, Deville met en scène une déclaration d’amour, aux mots, aux livres objets ou traces d’histoire, et à la littérature tout entière.