Générique
Réalisateur :
André Hunebelle
Réalisateur seconde équipe :
Michel Wyn
Assistants réalisateurs :
Patrick Bureau, Jean-Pierre Desagnat, Michel Sales, Nicolas Kohalmi
Scénaristes :
Jean Halain, Pierre Foucaud
Auteur de l'oeuvre originale :
Pierre Souvestre d'après des personnages, Marcel Allain d'après des personnages
Dialoguiste :
Jean Halain
Sociétés de production :
P.A.C. - Production Artistique et Cinématographique, S.N.E.G. - Société Nouvelle des Établissements Gaumont, Fair Film (Roma)
Producteurs :
Paul Cadéac, Alain Poiré
Directeur de production :
Cyril Grize
Distributeur d'origine :
Gaumont
Directeurs de la photographie :
Marcel Grignon, Vladimir Ivanov
Cadreurs :
Georges Pastier, Bernard Noisette
Ingénieur du son :
René Forget
Compositeur de la musique originale :
Michel Magne
Décorateur :
Max Douy
Costumiers :
Mireille Leydet, Torrente pour Mylène Demongeot
Maquilleurs :
René Daudin, Anatole Paris
Monteur :
Pierre Gillette
Scripts :
Charlotte Lefèvre, Marie-Thérèse Cabon
Régisseur :
René Fargeas
Coordinateur des effets spéciaux :
Gérard Cogan
Cascadeur :
Claude Carliez
Photographe de plateau :
Roger Corbeau
Interprètes :
Jean Marais (Fantômas etFandor), Louis deFunès (le commissaire Juve), Mylène Demongeot (Hélène), Jean-Roger Caussimon (Lord Mac Rashley), Françoise Christophe (Lady Mac Rashley), Jacques Dynam (l'inspecteur Bertrand), Henri Serre (André Berthier), Robert Dalban (le directeur du journal), Jean Ozenne (Albert), Max Montavon (Alexandre), Hubert deLapparent (Richard), Guy Delorme (le chef de la Mafia), Michel Thomass (le maharadjah), André Dumas (Tom Smith), Antoine Baud (William), Dominique Zardi (un homme de main de Fantômas), Henri Attal (un homme de main de Fantômas et Godfrey), Pierre Palfray (un homme de main de Fantômas), Roger Trapp (l'interprète), Paul Pavel (un membre de la Mafia), Rico Lopez (un membre de la Mafia), Bob Lerick (un membre de la Mafia), Gilbert Servien (un membre de la Mafia), Rita Renoir (la vedette qui descend d'avion), Raymond Pellegrin (la voix de Fantômas)
« J’ai connu en trois films le même De Funès, de plus en plus content de son succès et plus décontracté au fur et à mesure. Si les dialogues étaient d’une platitude exemplaire, il en faisait un numéro époustouflant. Il aimait les dialogues de Jean Halain, le fils du réalisateur André Hunebelle, parce qu’il pouvait les triturer à sa façon. Et que ça ne perturbait personne. Dès qu’on disait moteur, Fufu, c’était du vif-argent ! Il était chargé d’intensité, d’un influx nerveux. Il allait à deux cents à l’heure. Quand vous jouez avec lui, alors que vous êtes la jeune première, vous avez tendance à suivre son énergie et à vous laisser embarquer par son élan. » (Mylène Demongeot)