Générique
Réalisateur :
Jerry Lewis
Assistants réalisateurs :
Robert Bender, Ray Marsh
Scénaristes :
Jerry Lewis, Bill Richmond
Sociétés de production :
Warner Bros., Orgolini-Nelson Productions
Producteurs :
Peter Nelson, Arnold Orgolini
Producteur associé :
Scott Lewis
Directeurs de production :
Christopher H. Seitz, Claude Lawrence Jr.
Directeur de la photographie :
Gerald Perry Finnerman
Compositeur de la musique originale :
Morton Stevens
Créateur des décors :
Tracy Bousman
Décorateur :
Richard D. Kent
Monteur :
Gene Fowler Jr.
Interprètes :
Jerry Lewis (Warren Nefron/le docteur Perks/un gangster/Speed Armeter), Milton Berle (Monsieur Sultry), Sammy Davis Jr. (dans son propre rôle), Herb Edelman (le docteur Jonas Pletchick), Foster Brooks (le pilote), Zane Buzby (une serveuse/une voiturière/une femme dans la file d'attente), Dick Butkus (le militant anti-tabac), Francine York (Marie Du Bois), John Abbott (un chirurgien), Donna Ponterotto (une hôtesse), Buddy Lester (un passager), Tori Lysdahl (le rendez-vous de Warren), Linda Hoy (une infirmière), Phil Rubenstein (un vigile à l'aéroport), Dale Ishimoto (le mécanicien japonais), Larry Gabriel (l'homme pressé), Art La Fleur (l'employé de la station service), Patrick Campbell (l'homme dans la voiture), Michael Ross (un gardien de prison), Billy Holms (un gardien de prison), David Ankrum (le porteur), Mary Peters (la femme dans l'ascenseur), Michael Greene (l'homme à l'arme à feu), Jodean Lawrence (la petite amie d'Eddie), Ron Troncatty (le copilote), Manuel Perry (Slavdriver), Peggy Mondo (la femme au chien), Jason Weiss (un danseur), Ed Kerrigan (un danseur), Randy Doney (un danseur), Joey Scheck (un danseur), Steve La Chance (un danseur), Paul Reid Ronan (un danseur), Ruta Lee (la voix de Madame Sultry)
À presque 60 ans, Jerry Lewis retrouve, une dernière fois, son personnage d'éternel ado inadapté, constamment débordé par les absurdités du monde qui l'entoure. Épuisé par tant d'infortunes, il décide de se confier à un psychanalyste (puisque ses maladresses l'empêchent même de se suicider). L'ultime folie de l'artiste contient tous les motifs (chutes, exagération, anachronisme) et les qualités plastiques (décor, générique) de ses débuts. Mais à l'aune des années 80, la ronde de gags se pare d'une certaine amertume et même de désespoir. Celui d'un comique dépassé par son temps, sur le point de raccrocher la caméra. Seul remède en guise de mot de la fin, une formule magique prescrite par le psy : « Smorgasbord ! »