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Compromis dans une affaire de vol de diamants, un homme se réfugie chez son ancienne épouse où il est rejoint par un mystérieux agent d'assurances.
Film également connu sous le titre La Chaleur de minuit.
Espions à l'affût (qui fut aussi titré La Chaleur de minuit), réalisé en 1966, nous renvoie aux marges du cinéma français, celles des productions à petit budget destinées aux salles des boulevards, sans vedettes et avec leur dose d'érotisme candide. Max Pecas, le roi de la série B érotico-policière française, futur poète voué à exalter les étés passés à Saint-Tropez, imagine donc une histoire de gangsters et de vol de diamants dérivant vers une intrigue-prétexte d'espionnage. Télérama avait, à l'époque, décrit le film ainsi : « C'est un roman-photo policier aux décolletés faciles avec tout l'arsenal libidineux et ridicule de l'intrigue policière, de l'érotisme et du sadisme. » Que dire de plus ?
Jean-François Rauger
Générique
Réalisateur :
Max Pecas
Scénaristes :
Max Pecas, Maurice Cury
Dialoguistes :
Max Pecas, Maurice Cury
Sociétés de production :
UNICITÉ - Unité de Cinéma et Télévision, Les Films du Griffon (Paris)
Directeur de production :
Paul Cayatte
Distributeur d'origine :
C.F.F.P. - Comptoir Français du Film Production (Paris)
Directeur de la photographie :
Robert Lefebvre
Ingénieur du son :
Séverin Frankiel
Compositeur de la musique originale :
Louiguy
Monteur :
Nicole Cayatte
Interprètes :
Claudine Coster (Fabienne), Jean Vinci (Fred), Anna Gaël (Sibylle), Jean Claudio (Marc), Robert Lombard (Le chef), Jean-Claude Dague, Michel Vocoret, Dominique Santarelli
Film également connu sous le titre La Chaleur de minuit.
Espions à l'affût (qui fut aussi titré La Chaleur de minuit), réalisé en 1966, nous renvoie aux marges du cinéma français, celles des productions à petit budget destinées aux salles des boulevards, sans vedettes et avec leur dose d'érotisme candide. Max Pecas, le roi de la série B érotico-policière française, futur poète voué à exalter les étés passés à Saint-Tropez, imagine donc une histoire de gangsters et de vol de diamants dérivant vers une intrigue-prétexte d'espionnage. Télérama avait, à l'époque, décrit le film ainsi : « C'est un roman-photo policier aux décolletés faciles avec tout l'arsenal libidineux et ridicule de l'intrigue policière, de l'érotisme et du sadisme. » Que dire de plus ?
Jean-François Rauger