Générique
Réalisateur :
Serge Korber
Assistants réalisateurs :
Pierre Cosson, Lionel Bernier
Scénariste :
Géza Radványi
Adaptateurs :
Jean Halain, Serge Korber
Dialoguistes :
Jean Halain, Serge Korber
Sociétés de production :
Gaumont International, Rizzoli Film (Roma)
Directeur de production :
Robert Sussfeld
Distributeur d'origine :
Gaumont Distribution
Directeur de la photographie :
Jean Rabier
Cadreur :
Alain Douarinou
Compositeur de la musique originale :
François deRoubaix
Chorégraphe :
René Goléard
Décorateur :
Rino Mondellini
Costumier :
Anne-Marie Marchand
Coiffeur :
Marc Blanchard
Monteurs :
Robert Isnardon, Monique Isnardon
Script :
Alice Ziller
Coordinateurs des effets spéciaux :
Jacques Preisach, Jacques Martin
Cascadeurs :
Daniel Breton, Michel Berreur
Interprètes :
Louis deFunès (Evan Evans), Noëlle Adam (Françoise), Olivier deFunès (Philippe), Puck Adams (Endrika), Franco Fabrizi (Franco Buzzini), Paul Préboist (le directeur de l'hôtel), Franco Volpi (le marquis), Paola Tedesco (la fille sicilienne), Tiberio Murgia (le père sicilien), Marco Tulli (le commissaire), Vittoria Di Silverio (la nourrice romaine), Martine Kelly (la danseuse qui se marie), Micheline Luccioni (la femme entreprenante sur le yacht), Christor Georgiadis (Chris), Michèle Alba (une danseuse), Lydie Callier (une danseuse), Géraldine Lynton (une danseuse), Françoise Occipinti (une danseuse), Christine Reynolds (une danseuse), Annie Trembasiewicz (une danseuse), Leila Bouvier (une danseuse), Françoise Gres (une danseuse), Sylvie Maumet (une danseuse), Elizabeth Plazanet (une danseuse), Rosario Toledano (une danseuse), Danielle Valdrini (une danseuse), Daniel Bellus (un automobiliste), Max Desrau (un automobiliste), Jacqueline Doyen (une automobiliste), Ibrahim Seck (le chauffeur du car), Michel Charrel (un agent)
« Louis a adoré L’Homme orchestre : “C’est un film qui me change.” Je crois qu’il avait un peu de tendresse pour le film. Aussi parce qu’il jouait avec son fils. (…) L’Homme orchestre est un film que j’ai beaucoup aimé, ce film a énormément plu, en dehors du scénario que l’on aurait pu travailler un peu mieux, rendre plus fort, plus consistant. Il y a une espèce de légèreté. (…) Quand je revois le film, je revois les défauts, mais les gens réagissent plus fortement qu’avant : il est porté par les rires. Le film a pris de la bouteille. Je suis surpris et heureux ». (Serge Korber)