Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
La Naissance de l'amour
Philippe Garrel
France-Suisse / 1993
Avec Lou Castel, Jean-Pierre Léaud, Johanna Ter Steege, Dominique Reymond.
Deux amis, l'un comédien, l'autre écrivain, parlent souvent ensemble de leurs vies, de leurs passions, de leurs aspirations.
« Quand j'ai choisi Lou Castel et Jean-Pierre Léaud, je me disais que ce serait comme si le type des Poings dans les poches était devenu l'ami de celui des 400 coups. J'aimais bien aussi que ces deux personnages soient un peu des losers. Les histoires de losers, c'est souvent plus intéressant que les histoires de gagnants, plus émouvant. » (Philippe Garrel)
Générique
Réalisateur :
Philippe Garrel
Assistants réalisateurs :
Manuel Flèche, Olivier Théry-Lapiney, Hopi Lebel
Scénaristes :
Philippe Garrel, Marc Cholodenko, Muriel Cerf
Sociétés de production :
La Sept Cinéma, Canal+, RSI - Radiotelevisione Svizzera di lingua Italiana (Lugano), Vega Film AG (Zürich), Why Not Productions (Paris)
Distributeur d'origine :
Pan-Européenne (Paris)
Directeurs de la photographie :
Raoul Coutard, André Clément
Compositeur de la musique originale :
John Cale
Costumier :
Laura Travelli
Monteurs :
Nathalie Hubert, Yann Dedet, Sophie Coussein
Interprètes :
Lou Castel (Paul), Jean-Pierre Léaud (Marcus), Johanna Ter Steege (Ulrika), Dominique Reymond (Hélène), Marie-Paule Laval (Fanchon), Aurélia Alcais (La jeune fille), Max McCarthy (Pierre), Margi Clarke (femme de Cadix), Georges Lavaudant (metteur en scène), Anne Macina (Clara), Bernard Bloch (douanier), Charlotte Godfroy (petite Judith), Pierre Martot (Jean)
« Quand j'ai choisi Lou Castel et Jean-Pierre Léaud, je me disais que ce serait comme si le type des Poings dans les poches était devenu l'ami de celui des 400 coups. J'aimais bien aussi que ces deux personnages soient un peu des losers. Les histoires de losers, c'est souvent plus intéressant que les histoires de gagnants, plus émouvant. » (Philippe Garrel)