Séances
Séances passées
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / 35mm)
Mercredi 26 juillet 2017, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h05 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP)
Dimanche 28 mai 2017, 15h00 -
Salle Henri Langlois
→ 16h35 (93 min)
Séance précédée à 14h d'un atelier Actes Sud gratuit avec l’illustrateur Bruno Gibert et l’auteur Raphaëlle Botte
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP / VF)
Mercredi 19 avril 2017, 15h00 -
Salle Georges Franju
→ 16h35 (93 min)
Séance présentée par Serge Toubiana
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP / VF)
Lundi 17 novembre 2014, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h05 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP)
Vendredi 24 octobre 2014, 19h00 -
Salle Henri Langlois
→ 20h35 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP)
Mercredi 15 octobre 2014, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h05 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP)
Jeudi 20 mars 2014, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h05 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP)
Mercredi 10 avril 2013, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h05 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min / DCP)
Samedi 26 septembre 2009, 19h00 -
Salle Henri Langlois
→ 20h35 (93 min)
- Les Quatre cents coups (François Truffaut / France / 1958 / 93 min)
« Où ai-je trouvé le nom d’Antoine Doinel ? J’ai pensé d’abord me rapprocher d’un nom qui me plaisait beaucoup à l’oreille, celui d’Étienne Loinod, collaborateur des Cahiers du cinéma (en réalité le pseudonyme-anagramme de Jacques Doniol-Valcroze). J’ai cru sincèrement inventer le nom d’Antoine Doinel jusqu’au jour où quelqu’un m’a fait remarquer que j’avais simplement emprunté celui de la secrétaire de Jean Renoir, Ginette Doinel ! C’est justement Jean Renoir qui m’a appris que l’acteur jouant un personnage est plus important que ce personnage, ou si l’on préfère, qu’il faut toujours sacrifier l’abstrait au concret. Rien d’étonnant donc si Antoine Doinel s’est, dès le premier jour de tournage des Quatre Cents Coups, éloigné de moi pour se rapprocher de Jean-Pierre Léaud. » (François Truffaut)