Générique
Réalisateur :
Jacques Tati
Assistants réalisateurs :
Henri Marquet, Pierre Etaix
Scénaristes :
Jacques Tati, Jean L'Hôte
Dialoguiste :
Jacques Tati
Sociétés de production :
Specta Films (Paris), Gray-Film (Paris), Alter Films (Paris), Film del Centauro (Roma), Cady-Films (Paris)
Producteur associé :
Alain Térouanne
Producteur délégué :
Louis Dolivet
Directeur de production :
Bernard Maurice
Distributeur d'origine :
S.N.E.G. - Société Nouvelle des Établissements Gaumont
Directeur de la photographie :
Jean Bourgoin
Cadreur :
Paul Rodier
Ingénieur du son :
Jacques Carrère
Compositeurs de la musique originale :
Norbert Glanzberg, Alain Romans, Frank Barcellini
Décorateur :
Henri Schmitt
Maquilleur :
Boris deBanow
Monteur :
Suzanne Baron
Script :
Sylvette Baudrot
Conseiller artistique :
Jacques Lagrange
Conseiller technique :
Fred Orain
Photographe de plateau :
André Dino
Interprètes :
Jacques Tati (Monsieur Hulot), Jean-Pierre Zola (Monsieur Arpel), Adrienne Servantie (Madame Arpel), Alain Bécourt (Gérard Arpel), Lucien Frégis (Monsieur Pichard), Dominique Marie (la voisine), Betty Schneider (la fille de la concierge), Jean-François Martial (Monsieur Walter), André Dino (le balayeur bavard), Max Martel (l'ivrogne), Dominique Derly (la secrétaire pressée), Claire Rocca (Madame Dubreuil), Yvonne Arnaud (Georgette, la bonne), Denise Péronne (Mademoiselle Fevrier), Claude Badolle (le chiffonnier), Nicolas Bataille (un ouvrier), Régis Fontenay (le marchand de bretelles), Michel Goyot (le vendeur de voitures), Edouard Francomme (le peintre en batiment), Jean-Claude Rémoleux (le client de l'usine), Mancini (le marchand de légumes), Pierre Etaix (le livreur et le télégraphiste), Adélaïde Danielli (Madame Pichard), Nicole Regnault, Suzanne Franck, Marguerite Grillières, René Lord, Jean Meyet
« Je serais désolé que l'on puisse voir de la mesquinerie dans mon propos ; mon exigence est à la mesure de l'admiration que je porte à Tati et à Mon oncle. C'est parce que son art est si grand que notre adhésion se voudrait totale et c'est au fond parce que son film est trop réussi que nous sommes glacés d'effroi devant ce documentaire de demain. » (François Truffaut)