Générique
Réalisateur :
Claude Sautet
Assistants réalisateurs :
Jean-Claude Sussfeld, Jacques Santi, André Blanchoud, Luigi Russo
Scénaristes :
Jean-Loup Dabadie, Claude Néron, Claude Sautet
Auteur de l'oeuvre originale :
Claude Néron d'après le roman "La Grande marrade"
Dialoguistes :
Jean-Loup Dabadie, Claude Néron, Claude Sautet
Sociétés de production :
Lira Films (Paris), President Produzioni (Roma)
Directeurs de production :
Ralph Baum, André Hoss
Distributeur d'origine :
Gaumont Distribution
Directeur de la photographie :
Jean Boffety
Cadreurs :
Christian Guillouet, Henri Clairon
Ingénieur du son :
Jean-Pierre Ruh
Compositeur de la musique originale :
Philippe Sarde
Décorateur :
Théobald Meurisse
Costumier :
Georgette Fillon
Maquilleurs :
Maud Begon, Odette Berroyer
Monteur :
Jacqueline Thiédot
Script :
Geneviève Cortier
Régisseur :
Jean Lara
Photographe de plateau :
François Darras
Interprètes :
Yves Montand (Vincent), Michel Piccoli (François), Serge Reggiani (Paul), Gérard Depardieu (Jean), Stéphane Audran (Catherine), Marie Dubois (Lucie), Ludmila Mikaël (Marie), Antonella Lualdi (Julia), Umberto Orsini (Jacques), Catherine Allégret (Colette), Nicolas Vogel (Clovis), Betty Beckers (Myriam), Jacques Richard (Armand), Daniel Lecourtois (Georges, le père de Catherine), Pierre Maguelon (Farina), Jean-Denis Robert (Pierre), Yves Gabrielli (Michel), Maurice Auzel (Simon), Jean Capel (Jamain), Mohamed Galoul (Joe Catano), David Tonelli (Marco), Myriam Boyer (Laurence), Maurice Travail (le comptable), Henri Coutet (Henri), Robert Le Béal (le père de Marie), Jacqueline Dufranne (la mère de Marie), Marcel Portier (le père de Jean), Cadine Constan (la mère de Jean), Jean Lagache (l'adjoint de Bécaru), Jacques Dhéry (le patient), Lucienne Legrand (la femme du patient), Ermanno Casanova (le restaurateur), Léo Peltier (un ouvrier chez Vincent), Pippo Merisi (le soigneur), André Cassan (un spectateur au match de boxe), Sacha Bauer, Lucien Rodriguez
« Vincent, c'est vous, moi, lui, tout le monde. Il me plaît dans la mesure où c'est un personnage qui, même dans l'adversité, continue de lutter. Ce n'est ni un héros au sens mythologique, ni un superman. C'est tout simplement un homme avec son orgueil dans une main, sa faiblesse dans l'autre, ce qui n'exclut pas l'humour. Un humour qui transparaît souvent dans l'histoire de ses trois copains qui n'ont pas su vieillir, restant d'éternels gamins. Qui ont quelquefois refusé leurs responsabilités, oublié, pour certains, l'idéal de leur jeunesse et que la vie rattrape au tournant. »
(Yves Montand)