Générique
Réalisateur :
Claude Sautet
Assistants réalisateurs :
Jean-Claude Sussfeld, Jean-Claude Ventura, Jacques Santi, Agnès Folgoas
Scénaristes :
Jean-Loup Dabadie, Claude Sautet
Collaborateur scénaristique :
Claude Néron
Dialoguiste :
Jean-Loup Dabadie
Sociétés de production :
Fildebroc Productions, Mega Film (Roma), Paramount-Orion Filmproduktion (München)
Producteur :
Michelle deBroca
Directeur de production :
Henri Jacquillard
Distributeur d'origine :
CIC - Cinema International Corporation
Directeur de la photographie :
Jean Boffety
Cadreurs :
Christian Guillouet, Henri Clairon
Ingénieur du son :
William Robert Sivel
Compositeur de la musique originale :
Philippe Sarde
Décorateur :
Pierre Guffroy
Costumiers :
Annalisa Nasalli-Rocca, Yves Saint-Laurent pour Romy Schneider
Maquilleurs :
Jean-Pierre Eychenne, Irène Servet
Monteur :
Jacqueline Thiédot
Script :
Geneviève Cortier
Régisseur :
Paul Lemaire
Photographe de plateau :
Georges Pierre
Interprètes :
Yves Montand (César), Romy Schneider (Rosalie), Sami Frey (David), Umberto Orsini (Antoine), Bernard Le Coq (Michel), Eva Maria Meinecke (Lucie, la mère de Rosalie), Isabelle Huppert (Marité), Henri-Jacques Huet (Marcel), Pippo Merisi (Albert), Gisela Hahn (Carla), Betty Beckers (Madeleine), Hervé Sand (Georges), Jacques Dhéry (Henri), Carlo Nell (Jérôme), Carole Lixon (Louise), Dimitri Petricenko (Simon), Céline Galland (Catherine), Marcel Gassouk (Emile), Henri Coutet (Monsieur Fantin), Lucienne Legrand (Tante Sylvia), Martin Lartigue (Lorca), Serge Nubret (Colson), Colin Drake (Monsieur Winkinsen), Muriel Deloumeaux (Coline), Jerry Brouer (Rolf), Nicolas Vogel (un joueur de poker), Ari Arcadi (un joueur de poker), Lucien Desagneaux (un joueur de poker), Dany Jacquet (Nicole), Jean-Claude Sussfeld (un dessinateur), Brigitte Defrance (une dessinatrice), Pierre Vaudier (l'huissier à la mairie), Jean-Paul Blonday (un invité au mariage), Albert Daumergue (le patron du bar-tabac), Michel Piccoli (la voix du narrateur)
« Dans le rôle de César, Yves Montand a une grande malignité animale. Et c'est très rare de trouver cela en France où nous n'avons pas ce genre de personnages à la fois forts et lâches comme un Lee Marvin ou un Karl Malden... Pour Rosalie, pendant trois mois, j'ai essayé de ne pas choisir Romy Schneider, comme j'avais déjà tourné deux films avec elle. Mais il n'y a rien eu à faire, il n'y avait qu'elle qui m'inspirait. Quand je tourne avec elle, je sens une espèce de force, de chaleur, de goût de la vie. Il m'arrive de la trouver dure, mais jamais froide. Et puis c'est une actrice qui, dans les films, aime les hommes. Elle a un caractère violent et une soif d'absolu qui me fascinent. » (Claude Sautet)