Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Les Trottoirs de Saturne
Hugo Santiago
France-Argentine / 1985 / 144 min
Avec Rodolfo Mederos, Bérangère Bonvoisin, Edgardo Lusi.
Fabián Cortés, célèbre joueur de bandonéon, originaire d'un pays fictif d'Amérique latine, vit en exil à Paris. Obsédé par l'idée du retour, il poursuit une quête impossible de ses racines.
« C’est comme si on était parti faire un tour, en laissant le gaz ouvert » dit, dans Les Trottoirs de saturne, une des femmes de la petite communauté d’artistes latino-américains installée à Paris. Le film de Santiago baigne dans une ambiance faite d’espoir et d’angoisse, d’amour et de méfiance, où le fantastique rejoint le réalisme. C’est la complainte d’un exilé qui doute, tiraillé entre la nostalgie affective pour la patrie et l’attachement profond avec le pays d’adoption. Le sentiment de double appartenance d’un cinéaste, Argentin de Paris, qui affirme : « On ne perd jamais ses racines, mais on développe d’autres fleurs ».
Générique
Réalisateur :
Hugo Santiago
Assistant réalisateur :
Arnaud Esterez
Scénaristes :
Jorge Semprún, Hugo Santiago, Juan José Saer
Sociétés de production :
Caliban Audiovisuel, Euro-America Films
Producteur délégué :
Pierre-Henri Deleau
Producteur exécutif :
Hubert Niogret
Distributeur d'origine :
Neuf de Coeur Productions
Directeur de la photographie :
Ricardo Aronovich
Opérateur steadycam :
Jean-Marc Bringuier
Compositeurs de la musique originale :
Rodolfo Mederos, Eduardo Arolas
Costumier :
Marcial Berro
Monteur :
Françoise Belleville
Interprètes :
Rodolfo Mederos (Fabian Cortes), Bérangère Bonvoisin (Danielle Mallet), Edgardo Lusi (Mario), Andrea Aronovich (Marta), Philippe Clévenot (Le commissaire), Tomás Gubitsch (guitariste), Sophie Loucachevski (Dominique), Emmanuel Dechartre (Frank), François Ode (le tueur), Osvaldo Caló (claveciniste), Patrick Bonnel (propriétaire de l'Estrapade), Stanislav Stanojevic (Mirko), Juan Quirno (El Tano), Mónica Mórtola (Laura), Maurice Vallier (PDG de la maison de disques), Diego Mas Trelles (Luna), Karl-Heinz Schäfer (chef d'orchestre)
« C’est comme si on était parti faire un tour, en laissant le gaz ouvert » dit, dans Les Trottoirs de saturne, une des femmes de la petite communauté d’artistes latino-américains installée à Paris. Le film de Santiago baigne dans une ambiance faite d’espoir et d’angoisse, d’amour et de méfiance, où le fantastique rejoint le réalisme. C’est la complainte d’un exilé qui doute, tiraillé entre la nostalgie affective pour la patrie et l’attachement profond avec le pays d’adoption. Le sentiment de double appartenance d’un cinéaste, Argentin de Paris, qui affirme : « On ne perd jamais ses racines, mais on développe d’autres fleurs ».