Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Hiroshima, mon amour
Alain Resnais
France-Japon / 1959 / 91 min
Avec Emmanuelle Riva, Eiji Okada, Stella Dassas.
Après les bombardements, une Française et un Japonais vivent un amour impossible à Hiroshima. Pour son premier long métrage, Resnais invente, sur un scénario de Duras, un nouveau langage cinématographique, révolutionnaire à son époque, et raconte la rencontre de deux traumatismes. Un fulgurant poème de passion et de destruction.
« Hiroshima repousse les limites du cinéma. » (Jean-Luc Godard)
« Le sujet lui-même mêle une aventure passionnelle entre une jeune française et un architecte japonais à un réquisitoire antinucléaire aussi violent que pouvait l'être Nuit et brouillard vis-à-vis des camps d'extermination nazis. » (Michel Marie)
« J'ai essayé de trouver l'équivalent d'une lecture au cinéma et de laisser l'imagination du spectateur aussi libre que s'il était en train de lire un livre. » (Alain Resnais)
Générique
Réalisateur :
Alain Resnais
Assistant réalisateur :
Jean Léon
Scénariste :
Marguerite Duras
Dialoguiste :
Marguerite Duras
Sociétés de production :
Argos Films, Como-Films (Paris), Daiei Motion Picture Company (Tokyo), Pathé Overseas
Producteurs :
Anatole Dauman, Samy Halfon
Directeurs de production :
Alexandre Kamenka, Takeo Shirakawa
Directeurs de la photographie :
Sacha Vierny, Michio Takahashi
Ingénieurs du son :
Pierre Calvet, René Renault, Shirô Yamamoto, Khozubara
Compositeurs de la musique originale :
Georges Delerue, Giovanni Fusco
Décorateurs :
Esaka, Antoine Mayo, Maurice Petri
Monteurs :
Henri Colpi, Jasmine Chasney, Anne Sarraute
Script :
Sylvette Baudrot
Interprètes :
Emmanuelle Riva (Elle), Eiji Okada (Lui), Stella Dassas (La mère), Pierre Barbaud (Le père), Bernard Fresson (l'allemand)
« Hiroshima repousse les limites du cinéma. » (Jean-Luc Godard)
« Le sujet lui-même mêle une aventure passionnelle entre une jeune française et un architecte japonais à un réquisitoire antinucléaire aussi violent que pouvait l'être Nuit et brouillard vis-à-vis des camps d'extermination nazis. » (Michel Marie)
« J'ai essayé de trouver l'équivalent d'une lecture au cinéma et de laisser l'imagination du spectateur aussi libre que s'il était en train de lire un livre. » (Alain Resnais)