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Après les bombardements, une Française et un Japonais vivent un amour impossible à Hiroshima. Pour son premier long métrage, Resnais invente, sur un scénario de Duras, un nouveau langage cinématographique, révolutionnaire à son époque, et raconte la rencontre de deux traumatismes. Un fulgurant poème de passion et de destruction.
« Hiroshima repousse les limites du cinéma. » (Jean-Luc Godard)
« Le sujet lui-même mêle une aventure passionnelle entre une jeune française et un architecte japonais à un réquisitoire antinucléaire aussi violent que pouvait l'être Nuit et brouillard vis-à-vis des camps d'extermination nazis. » (Michel Marie)
« J'ai essayé de trouver l'équivalent d'une lecture au cinéma et de laisser l'imagination du spectateur aussi libre que s'il était en train de lire un livre. » (Alain Resnais)
Générique
Réalisateur :
Alain Resnais
Assistant réalisateur :
Jean Léon
Scénariste :
Marguerite Duras
Dialoguiste :
Marguerite Duras
Sociétés de production :
Argos Films, Como-Films (Paris), Daiei Motion Picture Company (Tokyo), Pathé Overseas
Producteurs :
Anatole Dauman, Samy Halfon
Directeurs de production :
Alexandre Kamenka, Takeo Shirakawa
Directeurs de la photographie :
Sacha Vierny, Michio Takahashi
Ingénieurs du son :
Pierre Calvet, René Renault, Shirô Yamamoto, Khozubara
Compositeurs de la musique originale :
Georges Delerue, Giovanni Fusco
Décorateurs :
Esaka, Antoine Mayo, Maurice Petri
Monteurs :
Henri Colpi, Jasmine Chasney, Anne Sarraute
Script :
Sylvette Baudrot
Interprètes :
Emmanuelle Riva (Elle), Eiji Okada (Lui), Stella Dassas (La mère), Pierre Barbaud (Le père), Bernard Fresson (l'allemand)
« Hiroshima repousse les limites du cinéma. » (Jean-Luc Godard)
« Le sujet lui-même mêle une aventure passionnelle entre une jeune française et un architecte japonais à un réquisitoire antinucléaire aussi violent que pouvait l'être Nuit et brouillard vis-à-vis des camps d'extermination nazis. » (Michel Marie)
« J'ai essayé de trouver l'équivalent d'une lecture au cinéma et de laisser l'imagination du spectateur aussi libre que s'il était en train de lire un livre. » (Alain Resnais)