Générique
Réalisateur :
Alain Resnais
Assistants réalisateurs :
Jean Léon, Volker Schlöndorff, Florence Malraux
Scénariste :
Alain Robbe-Grillet
Dialoguiste :
Alain Robbe-Grillet
Sociétés de production :
Terra Film (Paris), Société Nouvelle des Films Cormoran, Précitel, Como-Films (Paris), Argos Films, Les Films Tamara, Cinétel (Paris), Silver Films (Paris), Cineriz (Roma)
Producteur :
Anatole Dauman
Directeur de production :
Léon Sanz
Distributeur d'origine :
Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Directeur de la photographie :
Sacha Vierny
Cadreur :
Philippe Brun
Ingénieurs du son :
Guy Villette, Jean-Claude Marchetti
Compositeur de la musique originale :
Francis Seyrig
Décorateur :
Jacques Saulnier
Costumiers :
Bernard Evein, Chanel pour Delphine Seyrig
Maquilleurs :
Alexandre Marcus, Eliane Marcus
Monteurs :
Henri Colpi, Jasmine Chasney
Script :
Sylvette Baudrot
Régisseur :
Michel Choquet
Photographe de plateau :
Georges Pierre
Interprètes :
Giorgio Albertazzi (l'inconnu), Delphine Seyrig (la femme), Sacha Pitoëff (l'autre homme), Pierre Barbaud (un personnage de l'hôtel), Françoise Bertin (un personnage de l'hôtel), Wilhelm vonDeck (un personnage de l'hôtel), Luce Garcia-Ville (un personnage de l'hôtel), Héléna Kornel (un personnage de l'hôtel), Jean Lanier (un personnage de l'hôtel), Gabriel Lorin (un personnage de l'hôtel), Davide Montemurri (un personnage de l'hôtel), Gilles Quéant (un personnage de l'hôtel), Françoise Spira (un personnage de l'hôtel), Karin Toeche-Mittler (un personnage de l'hôtel), Gabriel Werner (un personnage de l'hôtel)
« Voici donc le spectateur rendu à sa liberté, tenu de faire jouer la totalité de ses facultés, acculé, comme dans la vie, à choisir lui-même, à prendre lui-même parti – sous peine de rejoindre ces dormeurs debout qui rêvent les choses au lieu de les vivre, en s’abandonnant au chaos de leurs émotions. En quoi L’Année dernière à Marienbad se révèle comme le degré le plus avancé du réalisme cinématographique. Je l’appellerais volontiers le réalisme du spectateur. » (André S. Labarthe, 1961)