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Avec Jean-Pierre Kalfon, Amidou, Pierre Barouh, Jacques Portet.
Quatre jeunes ouvriers s'astreignent à une discipline de fer pour apprendre le métier de gangster, entre poker, sports de combat ou maniement des armes. Après de petits méfaits, ils décident de préparer un gros coup.
« J’avais envie de montrer les mômes fascinés, illuminés par le cinéma, qui ne savaient pas reconnaître le rêve et la réalité. Ce qui était mon cas à l’époque. Nous prenions tout ce qui était montré pour argent comptant. Nous étions dans l’usine à rêves. Si nous n’avions pas eu des freins puissants, nous serions devenus de vrais voyous. D’autant qu’à ce moment-là, les voyous étaient assez bien vus, c’étaient des héros. Le cinéma avait sur nous une influence beaucoup plus grande qu’aujourd’hui. » (Claude Lelouch)
Générique
Réalisateur :
Claude Lelouch
Scénaristes :
Claude Lelouch, Pierre Uytterhoeven
Dialoguiste :
Claude Lelouch
Sociétés de production :
Les Films de la Pléiade (Paris), Les Films 13 (Paris)
Producteurs :
Pierre Braunberger, Claude Lelouch
Directeur de production :
Roger Fleytoux
Directeur de la photographie :
Jean Collomb
Ingénieur du son :
Thanh Kiem Luu
Compositeur de la musique originale :
Pierre Vassiliu
Monteurs :
Claude Barrois, Claude Lelouch
Interprètes :
Jean-Pierre Kalfon (Jean-Pierre), Jacques Portet (Jacques), Janine Magnan (Martine), Pierre Barouh (Pierre), Yane Barry (La tenancière du bistrot), Betty Beckers (la prostituée), Amidou (Amidou), Pierre Bourdon, Richard Saint-Bris, Gérard Sire
« J’avais envie de montrer les mômes fascinés, illuminés par le cinéma, qui ne savaient pas reconnaître le rêve et la réalité. Ce qui était mon cas à l’époque. Nous prenions tout ce qui était montré pour argent comptant. Nous étions dans l’usine à rêves. Si nous n’avions pas eu des freins puissants, nous serions devenus de vrais voyous. D’autant qu’à ce moment-là, les voyous étaient assez bien vus, c’étaient des héros. Le cinéma avait sur nous une influence beaucoup plus grande qu’aujourd’hui. » (Claude Lelouch)