Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Continental Circus
Jérôme Laperrousaz
France / 1969
Avec Jack Findlay, Nanou, Giacomo Agostini.
Documentaire sur la saison du championnat du monde moto de 1969-1970 surnommé par les pilotes « Continental Circus ».
« Dans l'Orphée de Jean Cocteau, les motocyclistes étaient les dignes messagers de la mort. En 1954, avec Marlon Brando et les anges noirs de L'Équipée sauvage, ils chevauchaient leurs machines à la poursuite d'un romantisme brutal. Moins de vingt ans après, Continental Circus descend le motard de son socle. Laperrousaz a l'âge de Vigo, 24 ans. Fidèle à Jean Vigo, il entre dans les trous de serrure de son époque. Moto, Musique et Mort, il jongle avec les trois mots. » (Michel Delain, L'Express, avril 1972)
Générique
Réalisateur :
Jérôme Laperrousaz
Assistant réalisateur :
Jean-Claude Valezy
Scénariste :
Jérôme Laperrousaz
Sociétés de production :
Open Films, Filmanthrope, O.R.T.F. - Office de Radiodiffusion et Télévision Française
Producteur exécutif :
Jacques Zajdermann
Distributeur d'origine :
PlanFilm
Directeurs de la photographie :
Jimmy Glasberg, Jean-Paul Janssen, Raymond Meyer
Ingénieur du son :
Harrick Maury
Mixeur :
Paul Bertault
Compositeur de la musique originale :
Gong
Monteurs :
Espérance Ruiz, Noun Serra, Bernard Waymel
Script :
Fanette Simonet
Interprètes :
Jack Findlay (dans son propre rôle), Nanou (dans son propre rôle), Giacomo Agostini (dans son propre rôle)
« Dans l'Orphée de Jean Cocteau, les motocyclistes étaient les dignes messagers de la mort. En 1954, avec Marlon Brando et les anges noirs de L'Équipée sauvage, ils chevauchaient leurs machines à la poursuite d'un romantisme brutal. Moins de vingt ans après, Continental Circus descend le motard de son socle. Laperrousaz a l'âge de Vigo, 24 ans. Fidèle à Jean Vigo, il entre dans les trous de serrure de son époque. Moto, Musique et Mort, il jongle avec les trois mots. » (Michel Delain, L'Express, avril 1972)