Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Tout va bien
Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin
France-Italie / 1972 / 95 min
Avec Jane Fonda, Yves Montand, Vittorio Caprioli, Anne Wiazemsky.
Un cinéaste et une journaliste américaine en couple, pris en otage par des ouvriers en grève. Sur fond d'histoire d'amour qui bat de l'aile, Godard et Gorin s'interrogent sur l'engagement politique post-68, à travers notamment le dispositif d'un plan en coupe de l'usine, qui illustre les rapports de classes et la division entre prolétaires et dirigeants.
« Tout va bien n'a pas marché malgré un sujet fort intéressant qui abordait aussi bien l'actualité politique qu'ouvrière. Je suis solidaire de la classe ouvrière, car ceux qui en sont vivent plus difficilement, plus durement que d'autres. Mais elle est aussi en proie, tout comme certains syndicats, à ses propres contradictions. Bref, ni Jane Fonda ni moi n'avons été payés, mais cela ne m'empêche pas de dire que j'ai été heureux d'avoir travaillé avec Jean-Luc Godard car j'ai beaucoup appris avec lui. » (Yves Montand)
« Tout va bien n'a pas marché malgré un sujet fort intéressant qui abordait aussi bien l'actualité politique qu'ouvrière. Je suis solidaire de la classe ouvrière, car ceux qui en sont vivent plus difficilement, plus durement que d'autres. Mais elle est aussi en proie, tout comme certains syndicats, à ses propres contradictions. Bref, ni Jane Fonda ni moi n'avons été payés, mais cela ne m'empêche pas de dire que j'ai été heureux d'avoir travaillé avec Jean-Luc Godard car j'ai beaucoup appris avec lui. » (Yves Montand)