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Avec Horst Buchholz, Valérie Kaprisky, Catherine Jourdan, Capucine.
Harry, un jeune milliardaire, passe ses vacances en Grèce chez son ami le comte Orloff. Celui-ci organise une fête durant trois jours et trois nuits, à la gloire de la déesse Aphrodite.
Le cinéaste britannique Robert Fuest, qui s'était fait remarquer par L'Abominable docteur Phibes et La Pluie du diable, signe Aphrodite, vague adaptation d'un roman de Pierre Louÿs. Le film met en évidence la beauté de Valérie Kaprisky (qui se rendra célèbre plus tard dans des films comme L'Année des Méduses de Christopher Frank ou La Femme publique d'Andrei Zulawski). Situé en 1914, sur une ile grecque, Aphrodite décrit les efforts d'un riche marchand d'armes (Horst Buchholz) pour recréer une fête en l'honneur de la déesse de l'amour que va personnifier une jeune et belle orpheline. À ce prétexte à un déploiement de sensualité élégante s'ajoutent les péripéties d'un thriller d'espionnage. Qualifiant le film de « monument de pornographie malsaine », une revue d'extrême-droite écrivit au moment de sa sortie en juillet 1982 « Si vous tenez 96 minutes, vous assisterez au triomphe, sournois mais irrémédiable, du Mal. » Alors.
Jean-François Rauger
Générique
Réalisateur :
Robert Fuest
Assistant réalisateur :
Patrick Aubrée
Scénaristes :
John Melson, Jean Ardy
Auteur de l'oeuvre originale :
Pierre Louÿs d'après le roman "Aphrodite'"
Sociétés de production :
Société Raoul Katz et Cie, Les Films de la Tour
Producteurs délégués :
Adolphe Viezzi, Jean Ardy
Directeur de production :
Claude Hauser
Distributeur d'origine :
Prodis
Directeur de la photographie :
Bernard Daillencourt
Ingénieur du son :
Georges Vaglio
Compositeur de la musique originale :
Jean-Pierre Stora
Compositeurs de la musique préexistante :
Antonin Dvorak, Gustav Mahler, Nikolaï Rimski-Korsakov, César Franck
Décorateur :
Gérard Viard
Monteur :
Noëlle Balenci
Interprètes :
Horst Buchholz (Harry Laird), Valérie Kaprisky (Pauline / Aphrodite), Catherine Jourdan (Valérie), Delia Boccardo (Barbara), Capucine (Lady Susan Stanford), Daniel Beretta (Mark Blain), Yves Massard (Orloff), Monica Nickel (Julie), Paolo Baroni (Nicky), Nicole Norden (Karine)
Le cinéaste britannique Robert Fuest, qui s'était fait remarquer par L'Abominable docteur Phibes et La Pluie du diable, signe Aphrodite, vague adaptation d'un roman de Pierre Louÿs. Le film met en évidence la beauté de Valérie Kaprisky (qui se rendra célèbre plus tard dans des films comme L'Année des Méduses de Christopher Frank ou La Femme publique d'Andrei Zulawski). Situé en 1914, sur une ile grecque, Aphrodite décrit les efforts d'un riche marchand d'armes (Horst Buchholz) pour recréer une fête en l'honneur de la déesse de l'amour que va personnifier une jeune et belle orpheline. À ce prétexte à un déploiement de sensualité élégante s'ajoutent les péripéties d'un thriller d'espionnage. Qualifiant le film de « monument de pornographie malsaine », une revue d'extrême-droite écrivit au moment de sa sortie en juillet 1982 « Si vous tenez 96 minutes, vous assisterez au triomphe, sournois mais irrémédiable, du Mal. » Alors.
Jean-François Rauger