Générique
Réalisateur :
Georges Franju
Assistant réalisateur :
Claude Sautet
Scénaristes :
Pierre Boileau, Thomas Narcejac, Jean Redon, Claude Sautet, Georges Franju
Auteur de l'oeuvre originale :
Jean Redon d'après le roman "Les Yeux sans visage"
Dialoguiste :
Pierre Gascar
Sociétés de production :
Champs-Elysées Productions (Paris), Lux Film (Roma)
Producteur :
Jules Borkon
Directeur de production :
Pierre Laurent
Distributeur d'origine :
Lux Compagnie Cinématographique de France (Paris)
Directeur de la photographie :
Eugene Schufftan
Cadreur :
Robert Schneider
Ingénieur du son :
Antoine Archimbaud
Compositeur de la musique originale :
Maurice Jarre
Décorateur :
Auguste Capelier
Costumier :
Marie-Martine
Maquilleur :
Georges Klein
Coiffeur :
Marcelle Testard
Monteur :
Gilbert Natot
Script :
Ginette Diamant-Berger
Régisseur :
Margot Capelier
Coordinateur des effets spéciaux :
Henri Assola
Photographe de plateau :
Jean-Louis Castelli
Interprètes :
Pierre Brasseur (le docteur Génessier), Alida Valli (Louise), Edith Scob (Christiane), François Guérin (le docteur Vernon), Claude Brasseur (un inspecteur), Alexandre Rignault (l'inspecteur Parot), René Génin (Henri Tessot), Juliette Mayniel (Edna Gruberg), Béatrice Altariba (Paulette), Yvette Etiévant (la mère), Birgitta Juslin (Juliette), Michel Etcheverry (le médecin-légiste), Marcel Pérès (un homme au cimetière), Lucien Hubert (un homme au cimetière), Charles Blavette (l'homme de la fourrière), Gabrielle Doulcet (une admiratrice), Max Montavon, Corrado Guarducci, Charles Lavialle, France Asselin
« Il fallait beaucoup d’audace pour oser un tel film, le calme presque monstrueux de Pierre Brasseur et la légèreté de fée de Mlle Scob pour le rendre supportable. Mais le film d’épouvante possède des titres de noblesse et Franju n’a pas oublié la grande règle qui consiste à traiter l’irréel avec le maximum de réalisme. Les ancêtres de ce film habitent en Allemagne, cette Allemagne de la grande époque cinématographique de Nosferatu. De longue date, nous n’avions pas retrouvé la sombre poésie, l’hypnose que provoquent le macabre, les maisons funestes, les monstres fabuleux de l’écran. »
Jean Cocteau