Générique
Réalisateur :
Michel Deville
Assistants réalisateurs :
Rosalinde Damamme, Jean-Luc Villemot
Scénariste :
Michel Deville
Collaborateurs scénaristiques :
François-Régis Bastide "Les Aisselles de la violoniste", Camille Bourniquel "Léda et le cygne", Muriel Cerf "Le Premier baiser", Jean Chalon "L'Amour des fruits", Pierrette Fleutiaux "Le Toit à New York", Patrick Grainville "Le Jeune homme à la valise", Yves Navarre "Le Billet froissé", Jacques Perry "Le Petit chat tombé du ciel", Maurice Pons "Les Mains de Marraine", Béatrice Privat "La Fugue", Suzanne Prou "Le Thé des vieilles dames", Frédéric Rey "La Marraine de Messine", Dominique Rolin "La Cantatrice et le jeune homme", Isaure deSaint-Pierre "L'Homme de la maison à vendre"
Adaptateur :
Michel Deville
Dialoguiste :
Michel Deville
Sociétés de production :
Prospectacle, Gaumont, Éléfilm (Boulogne-Billancourt)
Producteurs :
Maurice Bernart, Daniel Toscan du Plantier
Directeur de production :
Catherine Lapoujade
Distributeur d'origine :
Gaumont Distribution
Directeur de la photographie :
Claude Lecomte
Cadreurs :
Max Pantera, Pascal Marti, Norbert Marfaing-Sintes
Ingénieurs du son :
Henri Moline, Henri Morelle
Compositeurs de la musique originale :
Catherine Ardouin, Quentin Damamme
Compositeurs de la musique préexistante :
Ludwig vanBeethoven "Bagatelles", Johannes Brahms "Sapphische Ode"
Décorateur :
Catherine Ardouin
Costumier :
Brigitte Demouzon
Monteur :
Raymonde Guyot
Régisseur :
Franz Damamme
Photographe de plateau :
Michel Deville
Interprètes :
Dominique Sanda (Hélène), Geraldine Chaplin (Lucie), Jacques Zabor (Denis), Jean Crubelier (l'homme des maisons), Valérie Masterson (la cantatrice), Cécile Le Bailly (la cousine Marie), Françoise Morhange (la grand-mère), Frédéric Andréi (le jeune homme de l'hôtel), Christophe Malavoy (l'homme du train), Catherine Le Dall (la marraine), Dominique Delouche (l'homme du musée), Hélène Garcia (la pompiste), Géo Beuf (le client), Robin Camus (Lucas), Valérie Hug (Perrine et Hélène à dix ans), Marion Gautier (Hélène à quinze ans), Myriam Roulet (Lucie à quinze ans), Liliane Rovère (la voix de la femme du parking), Gérard Dessalles (la voix de l'homme du parking)
Voyage en douce et en douceur, belle rencontre de deux belles actrices. Deville filme Dominique Sanda et Géraldine Chaplin, la forte et la fragile, l’audacieuse et la timide, la blonde et la brune, la stable et l’instable : « Moi, j’ai horreur de l’eau tiède » confie Lucie à Hélène. Leurs deux personnalités dessinent progressivement une seule et même image, celle de la Femme. Au passage, Deville effleure le sujet de l’homosexualité féminine, laissant les hommes, réels ou rêvés, à l’arrière-plan, et les fantasmes s’installer, puisque « c’est toujours plus beau quand on invente »…